Le box de Bounty

Bounty est tout heureux en retrouvant son box, car il est tout propre et surtout que le râtelier est garnit de foin. Je le laisse s'y habituer, même si je ne doute pas que ça va venir très vite, et passe du côté du box de Malabar pour y faire le ménage. Une fois que j'ai finit, je donne ses granulés à Bounty, totallement ravi, et à Malabar qui est au paddock. Puis, moi aussi j'ai faim, alors je me dépêche de rentrer chez moi.
les maisonnettes

L'étalon est tout content de me voir. Je lui caresse les naseaux et le panse. Contrairement à Malabar il n'a pas fait attention à son état et s'est couché sans scrupule dans la paille. Une fois qu'il est bien propre, je le laisse en tête à tête avec son foin et file à la sellerie, faisant un petit détour par le box de Malabar.
la sellerie
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J'harnache Bounty, le laisse boire un coup, et c'est partit ! Je sors les rênes de l'encolure de mon chewi et l'emmène au travail.
le parcours de cross

Je retire son bazar à Bounty et le panse. Bien sûr, il est tout suant et a les membres tout sales.

- Je crois qu'une petite douche s'impose.

Aussitôt dit, aussitôt fait. J'emmène Bounty se rafraîchir. Et, comme la météo l'avait prévue, il fait beau et assez chaud, le temps idéale.
le coin douche

Je donne sa ration de granulé à mon chewi et le panse activement. Je vais faire le box de Malabar et file à la sellerie chercher le matériel dont j'ai besoin. De retour au box de Bounty, je l'harnache et une fois que je suis moi-même prête nous partons travailler, et sérieusement cette fois-ci.
la carrière de dressage

Je m'occupe des soins habituels après avoir débridé, dessellé et rangé le matériel. Je démêle aussi soigneusement la crinière de mon étalon avec mes doigts et fait tout une suite de petites tresses pour conserver ses crins. Je démêle aussi un peu la queue, mais comme je meurs de faim, je la bâcle un peu. Je donne ses granulés à Bounty et une fois qu'il a finit de manger, je le ramène au pré.
les prés

Sur le chemin du retour, Bounty cherche un peu à me devancer en partant au petit trot. Je le rappelle à l'ordre et une fois qu'il récupère le bon rythme et me permet de rester près de son épaule, je le félicite. Cependant, après avoir reçu sa caresse, il repart. Cette fois je sévis !

- Oh là !

Je donne un à coup sur la longe qui se répercute jusqu'au licol. Bounty plante ses quatres pieds et s'arrête. J'attends un moment, le fait avancer tranquillement et une fois qu'il a enfin compris, je le récompense. Cette fois-ci, il a retenu la leçon et reste calme. Il en sans doute compris que je n'étais pas d'une humeur particulièrement bonne. Une fois qu'il est rentré dans son box, je le panse, cherchant par des bisoux et des câlin à me faire pardonner de ma mauvaise humeur. Il fait semblant de m'en vouloir encore, mais je sais très bien qu'au fond, c'est pardonné. Je vais chercher la selle d'obstacle, le tapis, le filet et les protections. J'harnache mon chewi et nous partons vers la carrière, même si le temps est aux petits nuages.

- Ce matin, on va se refaire la main au saut. je ne suis pas très en forme alors on ne va pas trop pousser l'exercice, d'accord ?

Bien sûr, l'étalon n'a pas le choix, si je l'ai décidé, il en sera ainsi. Et puis aujourd'hui, mieux vaut ne pas trop me contrarier.
la carrière d'obstacle

Cette séance de saut m'a redonné un peu de punch et je suis donc de meilleure humeur. Du coup, Bounty croit qu'il peut me faire une blague en me poussant avec sa tête pendant que je le desselle. Je le réprimande gentillement et il se tient donc tranquille quand je le débride et lui retire ses protections. J'embrasse mon chewi et lui précise bien que je vais revenir après un détour à la sellerie. Je prends donc le filet sur mon épaule, la selle dans mes bras avec les protections dessus et je file, après avoir vérifié que la porte du box est bien fermée.
la sellerie

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Je reviens aux écuries et panse l'étalon gris. Il se prélasse comme un prince à qui ont fait la manucure. Je ris un peu, décidement, les chevaux ont le don de me redonner le moral. Je le bichonne donc excessivement, marchant dans son jeu, ce qui le rend tout content. Je lui donne ensuite ses granulés, là c'est le comble du bonheur ! Pendnat qu'il mange, je fais un petit écart vers les paddock pour rentrer Malabar dans son box et lui donner son avoine. Quand je reviens auprès de mon chewi, il a déjà finit de manger.

- Eh, ne mange pas rop vite, ça pourrait te jouer des mauvais tours.

<Et surtout te refiler des mauvais mots de ventre.>

Je lui passe son licol et l'emmène à son tour au paddock. Je sens qu'il a encore de l'energie à revendre et qu'il est impatient de faire la balade, sans doute pour pouvoir m'embarquer à tout bout de train. Comme notre séance a été assez courte, j'en profite pour aller à FreedOm-Land avant de retourner manger chez moi.
le centre commercial

Je prends le licol de Bounty et vérifie s'il n'a pas été grignotté. Apparement non, sans doute parce qu'il est resté bien sagement pendu à son clou. C'est un licol obéïssant.
Je récupère Bounty au paddock, le pense et l'harnache avec la selle de randonnée. Comme je pense faire une longue balade au pas, j'emmène de l'eau et quelques biscuits dans les deux sacoches, ainsi qu'une lampe de poche. Comme nous sommes en automne, je ne voudrais pas me laisser surprendre par la nuit à cause des jours qui raccoursissent. J'emmène Bounty dans la cour des départ de randonnée et m'y mets en selle.

- Aujourd'hui mon beau, nous partons en exploration dans les collines.

Ne connaissant pas du tout le coin, l'étalon gris reste sceptique. Mais ma bonne humeur a raison de lui et nous partons d'un pas modéré.
la forêt (les collines^^)

Quand Bounty me voit arriver en clopinant, il me regarde bizarrement. Je lui caresse le bout du nez et entre dans son box pour le panser. Il reste tout sage, comme s'il comprenait qu'il fallait me faciliter la tâche. Mais j'arrive parfaitement à me débrouiller sur un seul pied, même pour curer les pieds (quoique là, Bounty m'a quand même sacrément aidé). Je lui passe son licol et il me suis docilement jusqu'au rond de longe pendant que je continue de clopiner.
le rond de longe

Je panse Bounty et lui donne ses granulés. Je n'aurais pas le temps de m'occuper de Malabar aujourd'hui, il sera donc le premier demain. Une fois que mon chewi a finit sa ration, je l'emmène au coin de paradis qui doit bien lui manquer pour avoir passé la nuit et la matinée au box.
les prés

Je rmène Bounty dans son box et souffle un bon coup en m'asseyant sur ma boîte de pansage pour souffler un coup.

- Mon beau, c'est que maintenant que je me rends compte que ton pré est aussi loin.

Après un instant de récupération je me remets debout et panse mon chewi. Si personne n'y a touché, le sulky devrait toujours être dans la carrière, ça me ferra ça en moins à aller chercher. Une gentille et naïve cavalière passe alors par là et j'arrive à l'envoyer chercher le filet de Bounty avec des rênes d'attelage. Elle m'aide même à emmener mon étalon jusqu'à la carrière. Bien sûr, celui-ci n'apprécit aps trop que quelqu'un d'autre ose s'approcher de lui et fait donc son grand méchant en couchant les oreilles. Je le réprimande et, après avoir remercier la cavalière pour ses loyaux services, je le prends moi-même en main. Comme de par hasard, le voilà retransformé en agneau.
le cross

La séance n'a pas été très longue, surtout évprouvante pour moi. Je suis crevée mais je refuse de me reposer avant que Bounty ne soit libéré de son harnachement. On ne sait jamais ce qu'il peut arriver. Je me pose ensuite un moment sur ma boîte de pansage. Une fille, une nouvelle sans doute, débarque alors pour vérifier un box. Box qui n'était jusque là pas utilisé.
<Un nouveau cheval, une nouvelle cavalière, un nouveau martyr !>

Je la salue au passage, me présentant. Elle s'appelle Tsuki et attend l'arrivée de sa nouvelle jument, Angola.
<Me souviens un peu d'elle, un sale caractère ! Je lui souhaite bonne chance.>

Comme pour justifier mes doutes, après que le moteur du camion de la foire ait arrêté de ronronner dans la cour, j'entends pas mal de bruit d'agitation avant de voir la jument baie débarquer toute seule dans les écuries, trainant sa longe.

- Tu vois Bounty, on pouvait s'en douter. Je me demande où est passée la cavalière.

Bien sûr, en grande handicapée que je suis, je préfère restée assise sur ma boîte de pansage à observer le déroulement des évènements. Il faut lui laisser sa chance à cette Tsuki. Angola s'amuse à passer tous les box en revu, mais je l'éloigne d'un mouvement de main lorsqu'elle s'approche trop de nous. Manquerait plus qu'elle me marche dessus ! Heureusement, l'heureuse propriétaire débarque elle aussi et rattrape la demoiselle. Vu l'état de ses genoux et de ses bras, je ne risque pas trop à avancer qu'elle a dû se faire bien trainée avant de lâcher sa jument. Elle arrive à rentrer cette-dernière dans son box et je ne peux qu'admirer la façon subtile dont elle en sort.

- Magnifique ! dis-je en applaudissant. Si j'étais to j'aurais sûrement escalader la porte pour passer par dessus, ça aurait tout d esuite té moins classe.

Comme quoi, j'avais eu raison de lui laisser sa chance. Je laisse la nouvelle à ses activités et file tranquillement à la sellerie pour ranger le matériel de Bounty, requinquée par ma petite pause-détente. Je prends tout de même milles précaution pour ne pas glisser avec mes béquilles pleines de boue. De retour aux écuries, je panse Bounty, l'amène au paddock, le mettant dans celui d'à côté de celui de Malabar et opère la distribution de nourriture pour mes deux petits coeurs. Me souvenant que j'ai des friandises pour eux, je les glisse dans le seau. Ma question "pain ou pas pain" est réglée, car ce-dernier s'est bien émiété et collé au miel. Ils semblent tous les deux apprécier, surtout mon goinfre d'étalon gris. C'est donc toute guillerette que je rentre chez moi.
les maisonnettes

Une fois que Bounty est dans son box, je lui donne son foin et le panse méticuleusement. Je passe une bonne vingtaine de minutes à rendre sa crinière et sa queue présentables mais comme au final mon chewi est resplendissant, je me dis que ça valait le coup. Une fois que j'ai fini de lui curer les pieds, je le selle et le bride.
Là, je sens que la bête commence à s'impatienter et est toute excitée à l'idée de se remettre à l'entrainement.

- Ola, mon chou. On ne va pas faire grand chose ce matin ou je vais finir pleine de courbatures.

Mais ma douce et mélodieuse voix ne lui fait pas vraiment entendre raison et c'est à moitié en sautant qu'il sort du box à ma suite. Je ne peux pas l'empêcher de trottiner sur place tout le long du trajet jusqu'à la carrière et j'espère qu'il va se calmer. Je n'ai pas vraiment envie de finir par terre dès que je me remets en selle. Peut-être aurait-il été plus sage de commencer avec Malabar, le cheval doux comme un agneau.
la carrière mixte

Nous rentrons de la carrière en ayant l'impression que la température à monté d'un ou deux degrés en cinq minutes. Heureusement l'écurie reste fraîche. Bounty est tout suant alors je l'emmène au coin douche pour lui rafraîchir un peu les membres. Il en profite pour boire au jet d'eau, qui fait apparement plus "classe" que l'abreuvoir automatique. Je le fait marcher un peu dans la cour mais il sèche assez rapidement. Je le conduis donc au paddock avant de filer au pré breton.
les prés

J'arrive en catimini au paddock pour ne pas me faire voir par Malabar. A mon attitude, Bounty comprend sûrement qu'il doit venir mettre sa tête dans son licol discrètement. Mais il ne doit pâs en avoir envie et hennit donc un bon coup avant de faire un tour de paddock au galop. Dans l'enclos voisin, Malabar me capte tout de suite. Mais lui doit être un cheval intelligent, qui a compris qu'il n'était pas le seul et qui fait donc des efforts. Bref, un amour ! Pour me venger de ma bête grise, je fais donc mine d'aller chercher Malabar et je le papouille. Bounty s'offusque et je me dis donc que ça a assez durer et je vais le chercher.
C'est donc un étalon tout fiero et se pavanant à ma suite que je traine au bout de la longe. Je l'attache dans la cour pour lui faire son pansage et l'harnacher.
Je sens l'excitation monter en lui dès qu'il remarque que je lui ai mis la selle d'obstacle et des protections.

- Oui, oui, mon chou, on va essayer de reprendre l'obstacle en douceur.
la carrière d'obstacle