Le pré de Bounty

Je lâche Bounty dans son pré et il s'éloigne d'abord au pas, puis au grand galop une fois qu'il est assez loin pour ne pas me blesser avec un coup de cul de joie involontaire. Je le regarde filer vers le lac avec un sourire niais puis je me reprends et retourne au haras en poussant la chansonnette.
les écuries

J'arrive au pré et vois quelque chose d'incroyable. Bounty est déjà à la barrière en train de m'attendre. Je m'interroge sur ce changement et regarde en l'air. Je ne sais pas pourquoi, faut croire que ça clarifie l'esprit de regarder en l'air. A ce moment là, je vois un superbe ciel bleu et je tilte.

- Ah non, désolé mon beau, aujourd'hui on ne fait pas de balade.

Erreur fatale, immédiatement Bounty s'éloigne au petit galop faisant mine "Quoi, ma proprio dans le coin ? N'importe nawak, j'ai rien vu." Je rentre donc dans le pré et l'appelle avec ma grosse voix, vous savez, la voix qu'on utilise pour papa ours quand on lit petit ours brun^^. Le bel espagnole se fige, c'ets vrai quoi, depuis quand c'est la proprio qui a le monopole dans les messages du pré ? Il se retourne et vient me rejoindre avec un regard de fausse innocence "Tiens, tu es arrivée, je suis content de te voir".
Bref, ni une ni deux, je lui passe le licol et on rentre au haras après une caresse réconfortante, bah oui, il peut être traumatisant papa ours.
les écuries

Une fois au pré, je donne une friandise à Bounty pour le récompenser de ses efforts fournis pendant la journée. Il a l'air d'apprécier et reste donc près de moi après avoir été relaché. Je lui gratouille le front et pose un baiser entre ses naseaux puis m'éloigne la première. Il part donc à son tour, tranquillement, au pas, vers le petit lac. Ca me pince un peu le coeur de me dire que si je n'avais aps eu à m'occuper de Malabar j'aurais pu rester pour caliner Boutny jusqu'à que ce soit lui qui s'en aille en premier. C'est donc en soupirant que je retourne au haras pour chercher l'hongre et l'emmener à son tour en rendez-vous.
le cabinet du vétérianire

J'arrive au coind eparadis et appelle Bounty. Il arrive en galopinant, motivé par son entraînement. Je lui caresse l'encolure et l'enlicole avant de l'emmener au box.
les écuries

J'arrive au coin de paradis avec Bounty au bout de la longe. Je le désenlicole et lui donne une frindise pour le récompenser de ses efforts.

- Demain, ce sera moins dur.

Bounty est donc tout content et file brouter la touffe d'herbe d'Ombre. Bah oui, c'est bien connu, le touffe d'herbe est toujours plus goûteuse quand c'est un autre qui la broute. je sors donc du pré, exaspérée par l'attitude de mon chewi que j'aime pourtant à la folie.
les maisonnettes

Bounty est tout content de me voir arriver. Il a l'air de me reprocher d ene pas être venue plus tôt mais un gros câlin plus tard et tout est oublié. Je l'enlicole et le ramène aux écuries.
les écuries

Je donne sa friandise à Bounty avant de la lâcher. Et je me dis que j'ai bien fait car dès qu'il se sent en liberté il pars au galop, manquant presque de me renverser. Je sors assez rapidement du pré et heureusement car à peine trente secondes plus tard revoilà l'étalon qui me passe sous le nez, traînant avec lui tout une ribambelle de camarades. Je souris et rentre chez moi le coeur léger, me préparant à une fin de journée cuisine.
les maisonnettes

J'avance gaiement vers le coin de paradis quand je croise Sprint. Il faut croire qu'on a pas finit de se voir aujourd'hui. En même temps, si on vit dans le même haras c'est un peu normal. Je lui fais un grand osurire et allai continuer mon chemin quand elle me retient pour me parler de la position du petit troupeau du coin de paradis. Je la remercie et m'avance donc sans hésiter dans le pré. Il faut que je l'appelle deux fois pour que mon chewi daigne laisser ses copains pour venir jusqu'à moi. je le caresse et lui mets le licol avant de rentrer aux écuries.

- Bon, au moins tu as fais un effort. Tu n'es pas trop sale aujourd'hui.
les écuries

Je lâche Bounty dans son pré. Il est tout heureux de le retrouver même si Ombre n'y est pas encore. Il reste cependant quémander quelques caresses encore. Je les lui donne volontière et le laisse filer après un baiser entre ses naseaux.
Les maisonnettes

Après une nuit au box et une journée de concours, Bounty s'est bien défoulé dans son pré. Je vois arriver deux masses sombres vers moi quand j'appelle mon étalon. Je mets un certain temps avant de comprendre que ce sont en réalité Bounty et Ombre qui ont remasterisé le monstre de la gym molle (Sprint comprendra^^). Je passe son licol à l'étalon qui est passé de gris à alezan voir bai et l'emmène aux écuries en secouant la tête pour montrer ma désaprobation passive.
les écuries

Je lâche Bounty dans son pré. Il reste près de moi, pensant qu'il serait infâme s'il partait au galop s'amuser avec ses copains, ou peut-être parce qu'il attend encore une pomme. Je le câline pendant cinq minutes et comme il ne part toujours pas je lui glisse :

- Pour tout à l'heure, c'est déjà oublié tu sais. Si tu ne recommences plus, je ne t'en tiendrais par rigueur.

Tout content il part alors au galop s'amuser avec les copains.

- Et bah, plus d'un an plus tard et il m'étonne encore.
les maisonnettes

Les chevaux du coin de paradis ont déjà tous été emmenés par leur propriétaire. Bounty est donc tout seul à m'attendre à la barrière. Je lui dit bonjour avec une gratouille sur le front avant de l'enlicoler et de le ramener au haras.
Les écuries

Bounty est assez étonné de rentrer si tôt au pré. Je dois alors lui expliquer que j'ai autre chose à faire cet après-midi et que je n'aurais pas le temps de m'occuper de lui. Ca lui suffit comme explication et il s'en va boire à l'étang (♪ pour son petit-déjeuner…♪^^).
les maisonnettes

A priori, Bounty aime de plus en plus son pré. Quand je ne le monte pas pendant plus d'une demi-journée, il attends généralement mon retour à la barrière avec impatience (c'est beau l'espoir^^). Mais cette fois je dois aller le chercher (c'est inadmissible quand même, non?^^). Heureusement, il ne s'amuse pas à me trimballer partout et dès qu'il m'apperçoit il vent vers moi en hennissant de contentement. Je lui passe le licol avant qu'il file retrouver les copains qui sont encore présent et je lui fait mes papouilles habituelles. Il semble tout guilleret et c'est on ne peut mieux quand la cavalière n'est pas particulièrement en forme.
les écuries

En appercevant son pré, Bounty hennit un bon coup pour prévenir ses copains qu'il arrive. J'entends des réponses et ça me fait discrètement sourire. L'étalon commence à vouloir accélérer mais je le rappelle à l'ordre de la voix. Sa dévotion prend le dessus et il reste tout prés de moi, s'amusant à souffler dans mes cheveux détachés pour les voir s'envoler. Sa respiration est toute chaude dans mon cou et ça fait un bien incroyable. Une fois au pré, je l'embrasse entre les naseaux puis le libère. Il ne s'éloigne pas trop vite pour ne pas me renverser.Mais une fois que je suis hors d'atteinte et que ça part au galop, et que ça donne des coups de cul dans tous les sens. Après avoir refermé soigneusement la porte, je le regarde un moment s'amuser, profitant de sa liberté retrouvée.
Bien que ce soit à l'opposé du haras, je clopine jusqu'au pré breton pour faire un coucou à Malabar et lui montrer que je ne l'ai pas abandonné. Il semble surpris en me voyant en béquilles mais il doit vite se dire que c'est encore un truc bizarre des humains et vient me quémander des caresses. Phéno' me surveille du coin de l'oeil mais s'étonne de me voir repartir dix minutes voir un quart d'heure plus tard sans emmener son copain. Je crois que ça me fait un peu remonter dans son estime et me rend toute contente. Finalement, ça ne serait pas trop mal de faire une trêve avec l'étalon noir de Sprint.
les maisonnettes

J'arrive au coind e paradis et appelle Bounty. Il met pas mal de temps à arriver mais aujourd'hui, hors de question de me risquer dans la boue avec mes béquilles, d'autant plus si c'est pour lui courir après. Mais ile st si dévoué que ce n'est pas nécessaire. Je l'enlicole et le ramène aux écuries. A nous voir, on pourrait croire que c'est lui qui veille sur moi, prévenant la moindre défaillance et avançant à tout petit pas pour ne pas me presser ou me bousculer. Vraiment, je l'aime mon petit chewi.
les écuries

Je dois me retenir pour ne pas débarquer en courant au coin de paradis. Bounty est près de la barrière, broutant tranquillement. Il a la crinière toute emmelée et est couvert de poussière. En voilà un qui a dû faire la bringue avec ses copains et se rouler par terre pour disuader les mouches de l'approcher.
Je l'appelle doucement par son nom et je le vois redresser immédiatement la tête dans ma direction, les oreilles toutes dressées. Je m'approche doucement en tendant ma main pour qu'il la sente et me reconnaisse. Il a un moyen d'hésitation, tend son encolure de façon à me sentir en laissant le maximum de distance entre nous et hennit à mon intention.

- Et oui mon chou, c'est bien moi ! Je t'ai manqué ces derniers jours n'est-ce pas ?

Cette fois plus de doute, il a reconnu ma voix. Je le vois commencer à trépigner d'impatience et à faire du sur-place jusqu'à que je lui passe son licol. Je lui gratouille le front en souriant et l'embrasse entre les naseaux.

- Ca me flatte énormément mon chou.

Nous quittons le pré, dont je ferme soigneusement la porte derrière moi, et prenons la route du haras. Bounty a l'air de trouver que je n'avance pas assez vite, car il essait de me dépasser en tirant sur la longe pour me tirer derrière lui.

- Ah non mon chewi ! Je ne t'ai pas enseigné ces mauvaises manières, alors ne t'y mets pas.

Pour illustrer mes propos énigmatiques aux oreilles des chevaux, je saisis la longe près de l'anneau d'attache, tire un bon coup pour ralentir ma bête, me place devant lui et le fait reculer en appuyant sur son poitrail. Ensuite, je me place à la hauteur de son épaule et reprends ma marche en le tirant vers moi, toujours en le tenant court. Au début, mon dadou se laisse faire, se demandant où je veux en venir et pourquoi il y avait du reproche dans ma vox. Mais une fois que nous sommes repartis, il essait à nouveau de prendre l'avantage.

- Non !

Ca, il comprend et s'arrête, d'autant plus que comme je le retenais fermement, il n'avait pas d'autres choix. Il tourne vers moi sa bouille mais voit rapidement que je ne plaisante pas et décide de retourne dans le droit chemin, recevant ainsi une caresse en récompense avec une longe à nouveau lâche.
Ce fut le moment "rebelle" de Bounty et comme je n'ai pas céder, il me respecte d'avantage et me redonne toute la dévotion dont il me fait honneur habituellement.
les écuries