Le box de Malabar

Après avoir désinfecté mes égratignures, je retourne aux écuries. Les dirlottes m'avaient réservé un box supplémentaire, près de la porte donnant sur la douche, en prévision de la venue d'un cheval supplémentaire. J'écris rapidement et assez joliment "Malabar" sur l'ardoise ainsi que ses rations alimentaires, plutôt basses pour commencer. Je vais chercher de la paille et installe une litière. Je mets du foin dans le râtelier et de l'eau dans un seau, n'ayant pas encore acheté d'abreuvoir automatique. Le box respire bien et je décide qu'il est temps d'aller chercher l'hongre.
le centre commercial

Le van de la SPA s'arrête dans la grande cours du haras. Avant de sortir Malabar, la femme blonde, aux allures strictes, veut faire un petit tour de contrôle. Elle s'adoucit largement devant l'ambiance du haras. Je lui montre les instalations et finit par les écuries. Elle y voit des chevaux en bonne santé et je lui montre le futur box de Malabar. Comme il lui semble bien paillé et que la nourriture est adaptée, notament les rations d'avoine elle me demande :

- Vous n'aviez pas dit avoir un autre cheval, lequel est-ce ?
- Il n'est pas là, il est au pré.

Comme elle tient absolument à aller le voir, je l'emmène à la clotûre du coin de paradis et appelle Bounty. Il arrive joyeusement, mais ralentit à la vue de mon accompagnatrice.

- Allez, viens mon beau !

Il se rapproche et je le caresse. Il est donc déjà beaucoup plus en canfiance malgrès l'inquiétude qu'il accorde aux regards qui l'examinent.

- Il est en forme en effet et il n'a pas l'air malheureux, je pense pouvoir vous laissez Malabar. Voilà ses papiers.

Je les examine attentivement et les garde précieusement. Nous descendons l'hongre du van et nous l'amenons à son box. Je constate encore plus qu'il a du mal à se déplacer et qu'il n'a pas bonne mine.

- Il va vite falloir que je m'occupe de lui. Je vais le décrasser et le soigner un peu.
- Bien, je pense que je repasserai dans quelques mois, voir comment il s'adapte.
- Parfais.

L'envoyée de la SPA s'en retourne à son refuge avec son van. Je vois Sprint qui les regarde partir avec un air perplexe. Il y a un nouveau van, sans doute Phénomène qui débarque à son tour. (si tu ne viens pas en van je changerai)
Je retourne aux écuries et trouve Malabar en train de machônner du foin. En m'entendnat arriver il tourne sa tête vers moi. Je fonds littéralement devant ses beaux yeux. J'entre dans son box, il ne bouge pas d'un poil. J'éfleure son encolure et il trésaille. Je le rassure en murmurrant des mots doux. Il a bien besoin d'un bon pansage, je vais donc chercher mon matériel et m'y attelle. C'est impressionant de voir à quel point un cheval peut être crade. Après une heure d'hacharnement, son poil est propre. Je passe un dernier coup de brosse douce sur les membres et vais chercher de l'argile. Je l'applique sur les canons et je pose des bandes de repos par-dessus du cotton. Malabar semble déjà aller beaucoup mieux. Je le caresse et il se met à somnoler. Je souris tristement et m'éloigne. Je m'occuperais de sa crinière et de sa queue demain.
les maisonnettes

Je donne ses granulés à Malabar et il les mange tranquillement, presque sans appétit. Ca m'attriste un peu mais je me reprends et file préparer notre séance. Je reviens au bout de vingt minutes et je panse l'hongre, en démélant la crinière et la queue avec mes doigt et un spray démélant. Il reste quelques noeud mais je m'en chargerai plus tard, le maximum est déjà fait. Je masse l'alezan, en profitant pour vérifier son état au niveau des muscles... Ce n'est pas brillant. En tout cas, le dadou semble apprécier que je m'occupe de lui et il semble déjà s'être un peu attaché malgrès le peu de temps passé avec lui, bien qu'il restera sans doute encore un peu méfiant. Je lui passe son licol et l'emmène à son premier travail au haras.
le manège mixte

Je rentre Malabar à son box et comme il est tout couvert de sable, je le panse un coup. Une fois qu'il est propre, je lui remets des bandes de repos aux membres (que j'avais retirées le matin même avec toute l'argile^^) mais sans rajouter d'argile cette fois-ci, juste avec un coton et les bandes. Puis, pour laisser un peu plus de liberté à l'hongre et pour qu'il puisse intégrer rapidement son pré, dont l'air marin lui fera du bien, je l'emmène au paddock.
Contrairement au paddock de la foire, ceux du centre ont de l'herbe, ce qui ravit mon dadou qui semblait en avoir oublié la couleur. Il broute donc joyeusement. Je suis vraiment contente qu'il aille mieux aussi vite, quand la dame de la SPA décidera de venir jeter un oeil, elle sera sûrement heureuse de m'avoir fait confiance.
Comme il se semble y avoir aucun problème je retourne au box de l'alezan brûlé et y installe l'abreuvoir automatique. Je récupère donc le seau pratiquement vide et le range après l'avoir lavé (ça m'a beaucoup marqué, en Angleterre j'ai lavé 10 seaux pour chevaux d'un coup^^). Je file maintenant au coin de paradis avant que Bounty se demande si je l'ai abandonné.
les prés

Je m'occupe de retirer le crottin du box de Bounty et de le regarnir un peu en paille fraîche pour demain. J'entends sur le toit le clapottement de la pluie qui s'annonce. Je me dépêche donc d'aller au paddock pour récupérer Malabar et le ramener aux écuries sans trop le presser pour éviter le stress. Comme la température est agréable dans les écuries, je ne vois pas l'utilité de couvrir l'hongre, d'autant plus que je compte lui laissant tout son poil d'hiver cette année. Pendant que mon dadou mange l'avoine qui a très vite repéré en entrant dans son box, je défais ses bandes de repos pour laisser ses membres à l'air libre pour la nuit. J'embrasse Malabar qui ne semble pas affecté et je rentre enfin chez moi, bravant la pluie qui s'est légèrement intensifiée.
les maisonnettes

J'arrive à la hauteur du box de Malabar. Je l'appelle et il vient me voir, content d'une de ses première nuit sans dérangement. J'entre et le panse longement. Je l'emmène rapidement faire un tour en longe du haras, pour que le froid le tonifie un peu puis, de retour aux écuries, je lui mets des bandes de travail pour bien soutenir ses tendons pour la séance d'entrainement que j'ai prévu.
le rond de longe.

Je rentre Malabar dans son box et lui retire ses bandes. Je le panse, vérifiant son état après le travail accompli. Il est en parfaite santé. Je lui remets son licol et l'amène au paddock. Cette nuit, il y restera et peut-être que comme ça, dans un ou deux jours, il pourra intégrer son pré. Je l'embrasse entre les naseaux avant de le libérer. Il me souffle sur le visage avant de s'éloigner au pas pour brouter.
la sellerie

J'arrive aux écuries, retire le crottin des box de mes deux chevaux et les regarnit de paille. Je remplis les râteliers et les mangeoire, vérifie les abreuvoirs et vais au paddock checher Malabar.
Je l'appelle tout en restant près de la barrière. Je vois une forme flou et sombre se raprocher. Au fur et à mesure elle s'éclaircit et je vois Malabar qui me regarde avec des grands yeux l'air de dire "cette nuit en pleine air m'a fait du bien mais tu aurais pu éviter". En effet, la brume a humidifié la robe de Malabar qui est donc pas mal trempé. Je le ramène à son box et le laisse manger bien tranquillement. Ensuite je le bouchonne et le panse. Je lui mets des bandes de repos et passe même une serviette sur lui. Il est tout sec et je l'emmène vers le manège. mais il est occupé par une cavalière matinale qui me prévient que l'autre manège est aussi pris. Je bougonne un peu et emmène Malabar au rond de longe. De toute façon, je ne compte faire qu'un échauffement pour réhabituer l'hongre à travailler souvent et je le conduirai à ses premiers rendez-vous.
Le rond de longe
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Je bouchonne Malabar une nouvelle fois mais comme nous allons ressortir, je n'insiste pas vraiment.
le cabinet du maréchal-ferrant

J'entre dans le box de Malabar après l'avoir prévenu. Sa mine semble de mieux en mieux, ce qui me réjouit. Je le caresse, démélant sa crinière avec mes doigts.

- Allez, cette après-midi on a pas mal de travail mais après tu auras une bonne récompense.

Je finis sur cette touche énigmatique et attaque le pansage sommaire de l'hongre. Mon dadou semble plein d'énergie, ce qui me change bien du cheval tout tristounet et à la tête basse de la foire. Je l'embrasse entre les naseaux, vais chercher la grande longe, passe son licol à Malabar et l'emmène au manège mixte. Mais le temps que je prépare la tisane et Loup l'avait investit. Après tout, c'est son droit et ce n'est pa sle mien de le monopoliser. Je vais donc au manège d'obstacle après m'être assurée qu'il n'intéressait personne.
le manège d'obstacle

Je ramène Malabar dans son box et le panse. Je lui retire ses bandes de repos et file jusqu'à chez moi pour aller chercher les deux seaux de tisane qui ont eu le temps d'un peu refroidir. Je donne celui préparé avec le sachet d'éléctrolytes à l'hongre et laisse l'autre dans le couloir. Mon dadou me regarde bizarrement.

- Allez, vas-y, goute. Ca va te requinquer. C'est ça la surprise. Tu ne sens pas le miel ?

Malabar se penche par dessus la tisane et commence à la sentir. Il ne résiste pas à l'odeur et y trempe son nez. Il relève tout de suite la tête et je me dis "ça y est, j'ai foiré la recette", mais il la rebaisse et regoute. Il execute ce manège plusieurs fois et finit finalement la tête dans le seau, à tout boire jusqu'à la dernière goutte. Je suis heureuse que ça lui plaise (surtout quand on connais mes qualités de cuisinière^^) et je le laisse finir en allant chercher sa ration d'avoine. J'attends qu'il ait fini la tisane pour verser son repas dans la mangeoir. Il s'en délècte aussi. Je reste à l'observer, accoudée sur la porte du box et je murmure à l'hongre :

- Joyeux Noël.

Il relève la tête et me regarde. Il hennit faiblement et replonge son nez dans sa nourriture. Je souris et quand Malabar a fini son avoine, je lui passe son licol et l'emmène au pré.
les prés

La première chose que je fais en arrivant au haras, c'est aller voir Malabar. Il a l'air de s'être remis de ses émotions d'hier et joue avec la neige. Dès qu'il me voit, il s'avance vers moi en trottant et hennit. Je lui flatte l'encolure et l'enlicole. Cela se voit déjà qu'il a changé, qu'il est un peu plus en forme. Je lui fait faire un peu d'exercice en lui faisant faire le tour du haras deux fois. Je le rentre ensuite dans son box et le panse. Je le sèche bien car la neige qui le recouvrait a fondu. Je lui donne sa ration d'avoine et vais chercher Bounty au coin de paradis.
les prés

Je rentre Malabar dans son box et lui donne son avoine. Je donne aussi ses granulés à Bounty et je retire le crottin des deux box.
les maisonnettes

Je panse Malabar, vais chercher son matériel et l'emmène au rond de longe pour une nouvelle séance de réadaptation.
le rond de longe
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Je renter malabar dans son box et le caresse chaleureusement pour le féliciter des efforts fournis.

- On va sans doute pouvoir se la faire cette rando.

Il semble apprécier, je lui donne une friandise et vais ranger son matériel à la sellerie avant d'aller trouver Bounty. Je le panse lui aussi, lui passe son licol et l'emmène pour notre travail de l'après-midi.
manège mixte

En revenant aux écuries, je trouve Malabar couché dans son box, preuve qu'il s'y sens bien. Je l'appelle et il se relève immédiatement. Je caresse sa tête qu'il passe par-dessus la porte du box et je me saisis du licol pendu au clou. J'entre dans le box de Malabar et le lui passe, l'emmenant au pré. Il ne rechigne pas trop cette fois-ci. Il a bien compris que si je monte sur son dos, le pré ne signifie pas l'abandon.
les prés

Je donne ses granulés à Malabar et le panse soigneusement. Il a pris son poil d'hiver qui est tout doux, c'ets pour ça que je passe une demi-heure à le bichonner. Je l'emmène ensuite faire un tour, histoire de le faire marcher. Il me semble un peu plus dynamique que d'habitude et je trouve ça très bien. Comme il ne va pas beaucoup travailler ce matin, je le mets au paddock pour qu'il puisse quand même se bouger.
les maisonnettes

Je vais chercher Malabar dans son box. Il a déjà presque finit de manger sa guirlande le gourmand.

- Mais il faut en garder pour demain !

Il me regarde avec des yeux rond "Quoi, tu n'en fais pas d'autre demain?". Je lui caresse le bout du nez et l'emmène en licol et en longe dans le rond de longe avec tout mon matériel.
le rond de longe

Je réconduis Malabar aux écuries. Je lui fais les soins post-reprise et vais ranger le matériel. Je lui donne sa ration d'avoine et, en attendant qu'il ait fini, je retire le fumier du box de Bounty et le regarnis en paille propre. Je retire la paille que j'avais mis dans son abreuvoir pour couper l'eau et je remets du foin dans la mangeoir. Je vérifie que la guirlande est bien fixée juste au-dessus de la pierre de sel et rejoins Malabar. Je l'enlicole et le mène au pré.
les prés

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De retour du pré breton, je fais rapidement le box de Malabar. je regarde ma montre et file à ma maisonnette.
les maisonnettes

Je rentre Malabar dans son box et lui donne son avoine. Comme les autres matins, je verse aussi la ration de granulés de Bounty dans sa mangeoir juste avant d'aller le chercher au coin de paradis. Il n'y a pas à dire, avoir deux chevaux dans deux prés totallement à l'opposé l'un de l'autre, ça fait des jambes.^^
les prés

Je rentre Malabar dans son box et m'occupe de lui. Je vais ensuite voir Bounty et le prépare après un bon pansage.

- Toi aussi tu vas avoir droit à une balade aujourd'hui.

Comme quoi, après la journée jeux, la jourée balade !
la forêt

Je panse Malabar, le bride par dessus son licol, le selle, pose ses protections et noue sa longe autour de son encolure avec un noeud pour randonnée. Je vais vite chercher un petit sac en bandouillère pour moi et j'y glisse une pomme, un couteau, une orange et une bouteille d'eau avec aussi un petit sac plastique. Je mets ma bombe et caresse Malabar en attendant quelques minutes qu'il soit l'heure de rejoindre le groupe.

- Pour moi aussi c'est la première fois que je vais me balader dans la forêt à cheval. On va découvrir ça ensemble.

Comprenant qu'il va travailler, l'hongre prend ses préaution et boit toute l'eau qu'il peut.

- Ne t'inquiète pas, on va faire des pauses et il y aura un ruisseau.

Ca semble le rassurer et il picore la dernièr elamelle de carotte de sa guirlande avant que je le fasse sortir.

- Maintenant, tu n'a qu'à manger les pommes.
les randonnées

Je débarrasse Malabar de tout son bazar, le panse soigneusement et vérifie son état physique. Il va bien, cette randonnée ne lui a rien fait de mal. Je repasse son licol à l'hongre et l'emmène au pré.
les prés

Je rentre Malabar dans son box et lui donne son avoine. Je le panse et décide de tester une méthode lue dans un magasine pour faire évoluer mes massages. J'utilise donc des huiles essentielles pour réchauffer l'hongre en le frottant doucement.

- En plus comme ça tu sens bon.

L'odeur n'a pas l'air de le déranger et c'est tant mieux. Je vais chercher son matériel à la sellerie. Je le selle, le bride et pose des bandes de travail.
la carrière mixte

Je rentre Malabar au box, le débride, desselle et retire ses protections. Je lui fait un gros massage, plus pour le masser et vérifier si tout va bien que pour le nettoyer et je l'attache dans le couloir. Je lui cure bien les pieds et brosse les sabots pour qu'il n'y ait plus de terre dessus et je vaix chercher le pot de graisse. Avec mon pinceau, j'en applique d'abord sur les soles et les glômes avant de le passer sur la corne, faisant attention de bien monter jusqu'en haut. J'attends que ça "sèche" en faisnat les boxes. Je retire donc le fumier et regarnit tout en paille et en foin. Je constate au passage que la pierre à sel de Bounty est pratiquement finie. Une fois que j'ai rangé mon matériel, je rentre malabar dans son box tout propre et il se dépêche de retrouver les restes de sa guirlande et sa ration d'avoine.
les maisonnettes

Comme je ne suis pas sûre de remonter Malabar aujourd'hui, je l'amène au paddock. Si j'ai le temps je le longerai avant de le ramener au pré. En attendant, je vais à la sellerie pour l'entretien de mon matériel.
la sellerie

La dame de la SPA me demande à voir le box de Malabar, je l'y conduis donc ainsi que le vétérinaire. Un seul coup d'oeil lui suffit pour voir que le box est bien paillé, avec du foin et de l'eau à volonté, et avec une petite fenêtre pouvant donner sur l'extérieur. Je prend le licol de l'hongre et nous sortons par la porte de la douche pour aller au paddock. En me voyant, Malabar commence à s'avancer mais il se fige dès qu'il reconnait la dame de la SPA. Il me regarde avec l'air de dire "Tu m'avais promis, elle va me ramener là-bas, ne la laisse pas m'emmener". J'entre dans le paddock et vais à sa rencontre. Je le caresse et lui murmure de smots de réconfort :

- Ne t'en fait pas. J'ai bien pris soin d etoi, ils ne peuvent pas t'emmener.

J'essaie moi-même de me coinvaincre mais je suis stressée, et Malabar le ressent. Je l'ammène jusqu'au deux invités surprise. Le vétérinaire commence à le regarder, à tater ses membres par-ci par-là. Je jette un regard sur la femme. Elle semble abasourdie. je ne sais pas pourquoi et ça me stresse encore plus. Du coup, Malabar commence à bouger un peu.

- Ce cheval va bien, il a besoin encore d'exercice mais son état est correct, déclare le vétérinaire.
- J'ai commencé à le monter, mais je ne le fais pas encore galoper quand je suis sur son dos. Je l'ai emmené voir un osthéopathe et un maréchal-ferrant.
- En tout cas, coup la femme toujours avec son air abasourdie, le changement est flagrant, malgrès le peu de temps que vous avez passé avec lui.

Elle sort de son sac une photo et me la montre.

- Elle a été prise à la foire un peu avant que vous ne débarquiez pour le réclamer.

Je regarde Malabar et comprends immédiatement la surprise de la représenatnte de la SPA en revoyant Malabar. Sur la photo, il est flagada, tristounet, tout sale, les muscles totalement distendu (je ne sais pas si ça existe comme mot et si ça veut dire ce que je veux, mais c'est pas grave, vous me comprenez quand même) alors que maintenant il est un peu plus vif, il a l'air assez heureux, il est tout propre de son pansage de ce matin et ses muscles se sont rafermis.

- Nous n'avons aucune question à nous poser sur qui aura la garde de ce cheval. Je ne vous cache pas que je suis étonnée du resultat que vous avez obtenu en si peu de temps.
- Il suffit d'un bon pansage et d'un peu d'amour et ça fait déjà la majeure partie.
- vous avez sans doute raison. Que lui donnez-vous à manger ?
- Du foin et de l'avoine. POur le moment il ne travaille pas beaucoup donc la ration ets adaptée. Sinon, je lui ai fait une tisane ainsi qu'une guirlande de foin, de carottes et de pommes.
- Très bien, pouvons-nous voir son pré ? En espérant que ce ne soit pas ce paddock.
- Non, ce n'est pas ce paddock, je l'ai mis là au cas où j'aurai eu l etemps de le longer un peu. mais comme vous êtes venu, je vais le ramener au pré.

Je suis beaucoup plus rassurée après cette conversation et Malabr s'ets don un peu calmer et sentait avec curiosité la veste de la dame de la SPA.
les prés