Le coin de paradis d'Ombre

Je fais une longue caresse à Ombre car demain je pars en camp. Je lui explique que peut être une palfrenière viendra s'occuper de lui mais que ce n'est pas sûr. Je lui donne une carotte puis le désenlicole. L'étalon part au pas, se retournant sans cesse vers moi, comme s'il avait senti ma tristesse.

les maisonnettes

Je cours vers le pré et siffle. Ombre vient vers moi au galop. Il y a du progrès. Il semble réellement content de me voir. Je lui fais une grosse carresse bien méritée, je l'enlicole et l'emmène chez le véto puis le maréchal.

Je relâchais Ombre après un gros calin. Demain, on commencera l'entrainement pour le concours. L'étalon partit au trot en se retrounant de temps en temps puor me regarder.

les maisonnettes

J'entrais dans le pré toute essouflée. Je sifflais. Deux tornades, l'une grise, l'autre brune s'abbattirent sur moi à la vitesse de l'éclair. Je donnais une moitié de carotte à Bounty et l'autre à Ombre. J'enlicolais ce dernier pour commencer l'entrainement intensif au concours complet.

les écuries

Je constatais qu'Ombre avait bien été remis au pré. Je le sifflais. Il arriva au trot, une oreille dressée vers moi, l'autre à moitié pendante, ce qui lui donnait un air absolument comique. Je le carressais bien longtemps et l'envoyais aux écuries.

les écuries

Je siffle. Pas de réponse. Je re-siffle. Toujours rien. Je mets ma main en visière, je ne vois pas un seul équidé. J'appelle "Ombre". Deux espèces de chevaux préhistoriques tout crottés accourent au galop. L'un d'eux, Ombre ne se gène pas pour se frotter sur mon pantalon beige. Je lui saute au cou et le caline. Je n'oublie pas Bount', dans le même état. Même s'ils sont un peu sales, ils semblent en pleine forme. Ce séjour au pré leur a été bénéfique. Je mets le licol à Ombre et l'amène au box pour une bonne séance de pansage.

les box

Je détache Ombre, qui fier comme un jeune coq trotte vers Bounty et quoi ? et Vahiné ? Aurait-il des vues sur la jument, non il rejoint simplement le groupe. Je prends un carotte que je coupe en trois, je siffle Ombre se retourne d'un coup, et d'un superbe ensemble, les 3 chevaux accourent, je leur donne chacun un morceau de carotte. Ensuite, je repars vers ma maisonnette.

les maisonnettes

Je siffle. Je constate effectivement, qu'en cette période il y a pas mal de brouillard le matin. Au fond, un groupe. Enfin une tâche foncée. Une mini-tâche s'en détache. La forme se précise. C'est bien mon étalon. Il s'approche au pas, un peu triste de quitter ses copains (s'il savait que c'était pour aller chez le maréchal, il ne viendrai tout simplement pas !)
Je l'enlicole et lui donne sa petite friandise matinale. Je le conduis ainsi jusqu'au cabinet.

le cabinet du maréchal-ferrant

Le brouillard est de sortie aujourd'hui, ce qui fait que j'ai du mal à apercevoir le bout de mes pieds. Je siffle. Rien. J'appelle Ombre.
"ce serait bien si monsieur pouvait songer à ramener sa poire parce que là j'ai comme l'impression d'être enrouée et j'ai pas envie de perdre ma voix à quelques jours de NoWel."
Toujours rien.
"Pfff, il le fait exprèèèès"
Je siffle.
Cette fois un tête sombre sort du brouiilard s'approche lentement, au pas.
"Mouais, c'est pas trop tôt !"
Je fais un gros calinou à mon étalon puis l'enlicole, direction la chaleur (toute relative soit elle) de l'écurie.

les box

Je désenlicole mon étalon. Celui ci ne part pas et me fixe avec obstination.
"Bah quoi ? j'te jure, avec ta couverture t'auras pas froid !"
Soudain, je me rappelle que j'avais fourré 2 pommes dans ma poche. J'en donne une à Ombre. Celui ci reste me fixer mais je repars. Il s'en va donc retrouver ses congénères

les écuries

Je siffle Ombre. Celui-ci accourt ... et non pas au grand galop, au petit trot paresseux. Je m'empresse de l'enlicoler et après une demi-pomme, en route pour la tournée des rendez-vous !

le cabinet du vétérinaire

Je lâchais mon grand étalon qui partit au petit trot non sans avoir quémandé une petite carresse préalablement [la phrase à coucher dehors ]. Je le regardai quelques minutes, un sourire béat plaqué sur mes lèvres. Puis, à regret je repartis vers ma maisonnette.

les maisonnettes

Quand j'arrive, j'aperçois de loin Jump et Bounty pas trop loin. Je m'étonne de voir Jump contempler le ciel. Interloquée, je me rapproche doucement. Soudain, Bounty repart et Jump se met à faire une grosse voix qui me fait sursauter. Reprenant bien vite mes esprits, je contiunue vers le pré. Je m'apprétais à saluer Jump mais celle-ci, tout àson affaire avec son étalon ne me vis pas.
J'appelais Ombre. L'étalon, esseulé sans son copain Bount' ne fit pas trop de difficultés pour me rejoindre. Je l'enlicolais.

les écuries

Je retirai le filet d'Ombre qui s'empressa de partir rejoindre ses compagnons de pré qui s'amusaient déjà comme de p'tits fous. Je filai ensuite retrouver mon Phénomène qui devait bien s'ennuyer.

les écuries

Comme à mon habitude, je siffle Ombre. Et encore une fois, rien. Comme je n'aperçois rien, je me décide à faire le tour du pré. Je trouve enfin mon étalon tout au fond avec un petit groupe de chevaux. Quand il me voit, il part se réfugier derrière les autres. Je l'appelle avec une grosse voix. L'étalon ne vient toujours pas. Je fais alors demi-tour, comme si j'allais partir. Ombre vient alors vers moi au petit trot. Je m'empresse de l'enlicoler avant de lancer un "Ahah ! J't'ai eu" tonitruant. Du coup l'étalon me suit docilement, comme honteux. Sur le chemin du retour, je croise Jump et lui indique où sont les chevaux au cas ou Bounty ne répondrait pas, ça lui évitera de faire le tour du champ.

les écuries

J'enlève le licol à l'étalon. Comme celui-ci allait partir, je l'appelle en lui montrant une pomme. L'argument lui sembla décisif et il fit demi-tour. Il happa délicatement la pomme. Pendant qu'il finissait de l'engloutir, je lui fis un denrier calin puis le regardais quelques minutes trotte vers le fond du pré. Un peu triste, je revins vers les écuries.

les box de Phénomène

J'arrive joyeusement dans le pré et appelle bien fort Ombre. Etrangement, la p'tite frimousse foncée de Môssieur arrive bien vite, une fois n'est pas coutume. P't'être bien que je lui ai manqué. Je lui fait un gros calin, tellement je suis heureuse de retrouver mon grand n'Ombre. Je lui mets son licol et en route (mauvaise troupe) pour les écuries.

le box d'Ombre

Arrivée au pré, je désenlicolais le bel étalon. Celio-ci, sans me prêter le moins du monde de l'attention partit au petit trot vers le fond du pré où étaient regroupés pluisuers chevaux. Allez bon ! Il virait sauvage mon Ombre. Phénomène avait une influence à distance bien néfaste !
Me laissant tomber dans l'herbe, je commençai à rêver de mes 2 étalons sombres, bien assortis, attelés à une cariolle, moi à la place de la conductrice avec une jolie tenue. Subitement la vue de Phénomène bondissant de partout dans son pré m'assaillit. Bon bah c'est pas pour toute suite l'attelage, d'autant qu'aucun des 2 ne cédera devant l'autre !

le box de Phénomène

J'appelle mon étalon. Il ne fait pas encore tout à fait jour et je ne distingue pas mon étalon dans la masse sombre du fond du pré. Je siffle. Ce n'est pas plus concluant que ma première tentative. Heureusement que je m'y suis prise en avance, sinon, j'aurais stressée comme une folle. Je m'avance dans le pré et appelle Ombre plus fort. Cette fois-ci je vois une silhouette s'approcher doucement au pas. Derrière une autre silhouette. Je reconnais le gris caractéristique du cheval de Jump. Bounty vient sans doute voir s'il n'y a pas moyen d'avoir une pomme ou une carotte. Helas, je suis totalement sans arguments. J'enlicole donc Ombre et après une caresse à Bounty pour le "dédommager" de son déplacement j'emmène Ombre vers l'écurie.

le box d'Ombre