les histoires de Sprint au centre commercial !

J'arrive au centre commercial essouflée. Pour commencer, je décide d'imiter Jump et d'acheter un vélo parce que la marche, c'est pas mon truc, mais alors pas du tout ! Je me dirige vers le magasin de vélos. Je prends un de moyenne gamme pas trop cher. Je me dépèche d'aller régler ma nouvelle aquisition, puis je file vers le magasin d'équitation.
"Bonjour monsieur, c'est Sprtint !
- ah oui, c'est vous dont j'avais été prendre les mesures de votre étalon chez le marchand de chevaux, une sacrée bête hein ! Votre commande est prête. Comme sur la sacoche il y a un p'tit accroc (tient, un accroc ...), je vous offre un bon d'achat.
- Merci, vous êtes très aimable, aurevoir, et à bientôt sans doute"
Je me dépèche de trouver un taxi qui puisse ammener mon matériel, la bicyclette (le flème de la tester maintenant) et moi-même. Le chauffeur me demande un prix assez exorbitant, mais je paye, après tout.
Une fois au haras, je demande au chauffeur de m'aider à décharger (avec le prix que j'ai payé !!).
Puis aprs avoir tout laissé en plan dans ma maison, je vais à la salle à manger pour préparer mon chili !
la salle à manger

J'arrivais au centre commercial avec la ferme intention de me détendre. Je laissais mon vélo dans le petit abri destiné à cet usage et mettais mon antivol. Ensuite, j'allais directement dans un grand magasin de vêtement avec les articles regroupés par marque. J'admirais pas mal de choses mais pris dans mon panier une petit robe noire, un jean avec un motif brodé sur un côté, un pantalon noir, un T-shirt rose flash avec marqué dessus 100% breizh et enfin, une petite veste marron. Je filais en cabine, pour essayé tout ça. Je m'obligeais à ne prendre que 3 des 5 articles pour ne pas trop dépenser. Après mûres réflexions ....

suite après ...

suite maintenant ...

Après mûres réflexions, j'opte pour le pantalon noir, le T-shirt rose flash avec marqué dessus 100% breizh et la petite veste marron. J'aurais bien pris la robe, mais elle étais largement au dessus de mes moyens. N'empêche, elle me faisait rêver, je la remis donc une dernière fois et m'admirait dans la glace une dernière fois avec. Soudain, dans le miroir, je vis le jeune homme derrière un pilier, à proximité du magasin, il était plié en 2 de rire de ma surprise et a levé son pouce, comme pour dire que la robe était bien. Immédiatement, je me retournai pour le voir mais il avait déjà disparu, avec la vitesse d'un .... un chevreuil, moui c'est ça. J'essayais de me rappeler son expression : sans méchanceté, j'en étais sure, je repensais au repas de ce midi, aucune chance que ce soit un psychopate ou un pervers. Il y avait une lueur de malice qui brillait dans ses yeux, il s'amusait de la situation, il s'éclatait même. Enfin bon ... Un jour ce sera moi qui me moquerais de lui. Je réglais mes achats, dans mon étourdissment, j'avais oublié d'enlever la robe, j'vous dis pas la honte quand le detecteur à sonné, du coup j'me suis sentie obligée de prendre la robe ! J'allais vers le magasins d'accessoires ou j'achatais une paire de boucles d'oreille pendantes, avec au bout des dés avec sur chaque face un clé de sol (bien que je sois nullissime en musique ^^).
Ensuite, perturbée par les évenements, je décidais de rentrer.

les maisonnettes

Arrivé en ville, je commençais pas regarder les chevaux en vente puor choisir ceux que nous achèterons pour le centre, enfin quand la palfrenière aura redoner signe de vie. Je réfléchissais aussi au poulains pour le débourreur et le chuchoteur. Soudain un magnifique étalon attira mon regard, grand, beau, fier, nerveux. Je demandais des renseignements au marchands bedonnant.
"Oh ç'ui là, une vraie teigne, malheureusment, déjà réservé et je m'en réjouis, c'est pour un aut' haras, y va leur donner du fil à r'tordre çui-là !"
J'admirais le cheval, une vraie beauté de la nature, enfin bon, il était déjà réservé, donc tant pis.
Je me dirigeais ver s les magasins, je flânais un peu, rien de passionnant !
Bon tant pis, après avoir pris le journal ou Sprinter m'accusais de détournement d'argent, je repris le chemin du haras.
le haras

Après avoir confié Ombre au marchand de chevaux (qui sait finalement se montrer aimable, enfin y'a de quoi : on lui envoie tout nos membres !) je me dirige vers le magasin d'équitation et m'adresse directement au patron que je connais bien en évitant une petite nouvelle qui me semble un peu cruche. Je lui indique ma commande, qui est pareille à d'habitude.
"Bien, ça fera 12.5 et comme vous êtes une bonne cliente on vous livre gratuitement
-Très bien monsieur"
Je réglais par chèque et repartais non sans avoir salué l'aimable marchand.
Je passais reprendre Ombre et repartais.
les écuries

Je filais chez le marchand de nourriture. Il m'accueillit à bras ouverts en disant que sans notre haras sa boutique ne survivrais pas ! Je riais.
"- Comme d'hab pour la nourriture
- ok, c'est prêt donc je vous facture ...
- 12.5 ! Je régle en liquide" dis je en tendant la liasse de billet.

Je file discretos vers le marchand de costumes, farces et attrapes. J'apperçois Loup qui se dirige vers la crêperie. J'aurais bien été lui dire bonjour et faire un brin de causette mais elle m'aurait inévitablement demandé ce que je faisais là et je n'avais pas vraiment envie de mentir. J'étais un peu en "mission secrète". Je me "cachais" donc derrière un poteau et tournais autour au fur et à mesure que Loup avançait. Une fois hors de vue je me sentis rassurée, néanmoins un regard pesait sur moi : une vieille dame promenant son petit caniche hargneux me regardait comme si j'étais droit sortie d'un hôpital psychiatrique, c'était vraiment génant. Je lui adressais un petit sourire contrit et disparaissais à l'intérieur du magasin de costumes.
[grosse tache d'encre sur la feuille qui enpêche de lire cette partie !]
Je ressortis les bras chargés de sacs. Je passais les déposer vite fait à la maisonnette et repartis aussi se au cabinet.
le cabinet du maréchal ferrant

Je passais par chez le marchand de chevaux pour lui demander de garder Ombre le temps que j'aille checher la nourriture. Je fus étonnée de voir que finalement ce gros bonhomme était content de revoir mon étalon. Je discutais un peu avec lui. Dans l'enclos des étalons, j'aperçus le cheval qui m'avait fait rêver fin avril.
Je questionnais le marchand :
"Il aurait du être parti depuis longtemps non ?
- Oui, mais ses acheteurs sont revenus sur leur décision et personne ne veut l'acheter.
- Vous permettez que je le regarde ?
- Oui, si ça vous chante."
Je m'approchais de l'étalon. Le regard haineux de celui-ci se tourna vers moi. Au fond, on y lisait une profonde tristesse. J'approchais ma main du cheval. Celui ci tourna la tête.

"A t-il été dressé ?
- Il a été débourré, on peut le monter, mais il ne sait ni sauter, ni faire des figures de dressage, ni faire de l'attelage. En fait, on peut juste le monter, et à peu près le diriger, le faire changer d'allure, il lui reste tout à apprendre à part ça.
- Combien il coûte ?
- 950 ♣ à cause de toutes ces faiblesses.
- Pourquoi n'est il pas prposé aux ventes de notre haras ?
- Je tiens à vous proposer des chevaux de qualité, vous êtes de très bons clients.
- Quui vous dit que ce cheval n'est pas un cheval de qualité ?
- Bof ... J'en ai plusieurs de ce genre, et si vous êtes interréssée, dites à vos pensionnaires de venir me voir et je mettrais le cheval qu'ils désirent à leur disposition
- Monsieur, j'ai pris 2 décisions : la 1ère est d'autaoriser les membres de mon haras à venir vous voir pour demander d'acheter des chevaux de son type, c'est à dire à peine dressé, si ils ont eu mon autorisation ou celle d'Acamill. La 2ème, est d'acheter ce cheval ...
- Quoi ?!?
- Oui, j'achète cet étalon, enfin pour le moment, je le réserve. Je l'achèterais sans doute fin août pour pouvoir entrainer Ombre au concours complet à ma guise.
- Oh ... comme vous désirez, je vous le réserve. En attendant, venez le voir.
- Oui, bien sûr. Je vous laisse Ombre, le temps d'aller chercher la nourriture."

Dans la boutique d'équitation, le marchand me tendis mes paquets tout prêts. Je réglais mes 12.5♣.
J'expliquais au marchand que dans 2 mois, il y aurait peut être le double de nourriture.

Je revins chercher Ombre et l'emmenais au pré.

les prés

suite après

Je garais le le van sur le parking du marchand de chevaux. Enfin parking ... 2 places et demi mais c'était déjà bien.
Je partis à la rencontre du marchand.
"Bonjour M'sieur
- B'jour, j'croyais que vous veniez prendre vot' ch'val que dans 1 mois au moins, z'avez changez d'avis ?
- Non pas du tout, je voulais jsute savoir, comment l'ancien proprio vous l'a ammené ce cheval.
- Oh, il habitait à 2 pas, alors il l'a ammené à pied. Il m'avait dit, de toute manière, ce cheval ne rentrera pas dans un van.
- J'ai bien pensé à faire la même chose, mais avec toutes les voitures, j'aurais l'air fine si je le lache et qu'il part se mettre sous les roues d'un camion.
- Ca, c'est sûr !
- C'est pour ça que j'ai décidé de l'habituer au van, je viendrais plusieurs fois et peu à peu, on le rapprochera du van.
- Vous avez bien du courage, enfin, je n'ai rien contre, c'est peut être la seule solution.
- Pour aujourd'hui, je vais juste laisser le van sur le parking, comme il en a déjà vu, ça devrait aller
- d'accord."

Je partis vers l'enclos des étalons. Je remarquais qu'en fait, l'enclos était séparé un 2.
Je questionnais le marchand :
"Oh, d'un côté c'est les chevaux dressés, de l'autre côté, c'est les chevaux pas commodes. Je vous ai toujours présenté le 1er côté à vous et à vos membres."
Je hochais la tête. Phénomène était à l'écart dans l'enclos. En fait, dans cette partie de l'enclos, chaque cheval était seul avec un air triste. De l'autre côté, les étalons formaient un groupe, se reposaient tête bêche. Le contraste était saisissant. Je me glissais dans l'enclos de Phénomène et des autres. La moitié du groupe leva la tête dont Phénomène, et me regarda avec surprise et méfiance. L'autre moitié, c'était ceux que la vie avait brisé, ou lputôt que les hommes avaient brisé. Ceux là se laisseraient trainer dans le van sans protester, mais n'auraient plus jamais goût à la vie. Phénomène ne faisait pas partie de ceux là, il était encore jeune, sauvage presque, j'étais sûre qu'il adorait les grands espaces herbeux, même s'il n'en avait jamais vu. Je m'appuya contre la barrière et resta à le contempler. L'étalon sentit mon regard sur lui. Il me regarda en face. Un eclair de colère traversa ses yeux. Peu à peu, son expression se radoucit un peu. Je ressortis de l'enclos, salua le marchand puis repartis dans le van en passant bien devant l'enclos des étalons.

les maisonnettes

En arrivant au centre commercial, je me dirige d'abord vers le magasin d'équitation. Le marchand jovial sembla heureux de me voir.
"Et ben ma p'tite d'moiselle, ça fait un bout d'temps, j'pensais qu'vous aviez changé d'fournisseur !
- Non non, c'est juste que je suis en retard à cause des vacances.
- Humm, je vois, j'vais chercher mon paquet.
- D'accord, voilà vos 12.5♣. Vous pouvez me faire livrer le paquet au haras ?
- Oui, bien sûr ! A bientôt !
- Oui, Kenavo !!"

Ensuite, je me dirigea vers le marchand de chevaux. Ce lui-ci m'accueillit également à bras ouverts.
"Bonjour ! Je pensais que vous aviez renoncé à votre furie, j'étais catastrophé, personne n'en veut à par vous !
- Non non, je le prends toujours.
- C'est pour aujourd'hui alors ?
- Non, Pour plus tard, aujourd'hui je vais l'habituer au van d'abord, et au haras si j'arrive à le faire monter dans le van.
- Je vois, bon, bah je vous laisse alors."

J'entrais dans l'enclos des chevaux "durs". Je repérais Furia, le futur cheval de Loup. Mais la première chose que je vis, c'est phénomène et son regard assassin. Je m'assis dans l'enclos et commençais à lire un bouquin. Quelques chevaux un peu moins agressifs que les autres vinrent me voir. Je leur carressais le bout du nez. Ils semblaient étonnés par cette marque d'affection. Je me retrouvais bientôt entourée de 5 paires d'yeux. Je sentis un regard lourd de reproches se poser sur moi. Phénomène. Il se sentait trahi en quelque sorte. Il avait compris que c'est lui que je venait voir. Le grand macho s'approcha alors de moi, à petits pas. Le cercle de chevaux s'écarta pour lui laisser la place. Je lui carressais le bout du nez comme je l'avais fait aux autres chevaux, sans plus. J'étais assez fière de moi. Si j'avais chercher directement à l'approcher, il aurait fui. Comme ilrestait près de moi, je lui gratouillais le chanfrein tout en me levant avec précaution. Ensuite, je sortis de l'enclos et partis chercher dans la voiture un licol. Je revins dans l'enclos et me ré-installais à la même place, le licol sur les genoux, bien en vue. Phénomène revint quémander des carresses. Mais à la vue du licol, il se fit plus suspicieux. Je le laissais le renifler et l'observer sous tous ses angles. Je me risquais à approcher ma main. Les muscles de l'étalon tressaillirent. Je stoppais mon mouvement. Je le repris doucement. Je parvins à le carresser. Comme tout à l'heure, je me relevais. Après, je laissais glisser ma main sur son encolure, puis ses antérieurs. Etonnement il se laissa faire. Je fis de même avec le reste de son corps pour qu'il s'habitue à mon contact. Après, je repris le licol posé par terre et l'approchais avec douceur du cheval. Il fit un mouvement de recul. Je stoppais mon mouvement. Puis au bout de quelque temps, je repris mon geste, doucement. Ensuite, je le laissais ressentir l'objet. Puis, je le lui mis sur l'encolure et le frottais ainsi doucement à son corps pour qu'il s'y habitue. Après, je remontais ma main vers la tête de l'étalon. Et avec mille précautions, je mis le bout du nez dedans. Phénomène ne réagissait pas il surveillait chacun de mes mouvements avec une attention démesurée. Je bouclait le licol. Une fois cette opération accomplie, je laissais l'étalon déambuler à sa guise dans l'enclos. Un quart d'heure plus tard, je vins de moi-même vers l'étalon. Il s'arrêta et me dévisagea. Je le carressais d'une main un peu plus assurée que tout à l'heure. J'accrochais une longe au licol et je marchais à côté de l'étalon en tenant la longe et en le laissant choisir son parcours. Quand j'estimai suffisante la période d'adaptation au licol et à la longe, j'entrainai l'étalon vers la sortie de l'enclos. Une fois dehors, l'étalon commenca à s'affoler et à rouler des yeux. Je lui parlai avec douceur. Comme l'interressé ne semblait pas disposé à ce laisser faire, je l'attachais à la barrière et le laissais ce calmer de lui même.
Mais décidément il ne s'en remettait pas ! Lui ?!? attaché ! Non mais qu'elle folie, elle l'avait regardé en face cette jeunette qui paraissait 10 ans pas plus ! Phénomène rua avec fureur. Le marchand de chevaux blémit. C'est mauvais pour les affaires un tel spectacle. Puis, soudainement, la tempête devint brise légère et l'étalon se calma, se dressa sur toute sa hauteur et me toisa avec sévérité. Je me ré-approchais du cheval. Lentement très lentement. L'étalon banda sa muscles, prêt à ruer. Mais il n'en fit rien, sa colère s'était momentanement dissipée. Je profitais de cette acalmie pour le détacher et le conduire vers le van. Le cheval stoppa net, campé sur ses jambes à 5 mètres de "l'objet". Il fixa cette grande boîte de métal. Puis tourna la tête avec gravité vers moi. Il fit 2 pas et allongea sa tête du plus qu'il pu pour renifler cette boîte à mouchoir métallique à l'échelle 100/1. Après 5 minutes à attendre ainsi et de gros gargouillement au niveau de mon cher ventre je tentais de le faire avancer vers l'arrière du van. Il consentit. Une perquis' de l'objet s'imposait. La furie se faisait agent de sécurité. Arrivés au niveau de l'arrière de la voiture, de l'autre côté, cap'taine Phéno stoppa les investiguations. La boîte de mouchoir géante venait d'être prise en flag. En flaggrant délit de flirt avec une voiture géante de "barbie fait du cheval (avec Ken, celà va de soi)". Pas question de laisser ces deux-là s'en tirer à si bon compte. L'étalon reprit de lui même ses investiguations en tirant derrière lui lieutenant Sprint, à la traine. Une fois un tour complet accompli, le capitaine s'arrêta tout en gardant un oeil attentif sur ces deux-là, la boite de mouchoir ayant tout à fait la tête à prendre la clé des champs. Lieutenant Sprint persuada son supérieur de venir à l'interieur de la boite de mouchoir. Ellle sortit la commission rogatoire pour prouver au gradé du bien fondé de son initiative. Sprint ouvrit la boîte de mouchoir. Elle entra en première dans la boîte, comme ça, s'il y avait un danger, ça retombait sur "l'inférieur" se dit le cap'taine. Il se fit même prier pour entrer à son tour. Il enfit un tour rapide et ressortit aussi sec. Intriguant comme lieu. Le lieutenant convainquit le cap'taine d'aller se reposer, on poursuivrait plus tard.
fin de l'intermède "Mary Lester" (bah wi, z'avais envie de faire qqchose d'oWriginal)
J'ouvris l'enclos et relâchais Phénomène pour qu'il puisse se reposer. J'expliquais au marchand que la suite, ce serait pour plus tard.
Je débarquais dans un nouveau magasin pour acheter un sandwich. J'y croisai Loup. Nous disutâmes un p'tit moment. Puis elle repartit pour s'occuper de Furia, quant à moi, je repartis chercher Ombre pour quelques visites qui s'imposaient.
les écuries

Je gare le van. Ensuite je me dirige vers le centre commercial. Les illuminations m'émerveillent (l'émerveillement est le premier pas vers le respect, Ushuïa je suis en train de commencer à respecter des illuminations de Noël !!). Je me balade un peu dans le centre commercial. J'entre dans une nouvelle boutique, assez sympathique, j'y achète des cadeaux pour les membres présents au haras en ce moment.
Ensuite, je me dirige vers le marchand de chevaux. Il fait un froid polaire mais les chevaux sont, comme d'habitude, dehors, sans une couverture (à l'UCPA, ils ont acheté des couvertures pour les chevaux qui n'en avaient aps encore et elles sont trop belles, même Tilly elle en a une !). Je vais vers le marchand de chevaux, lui tend son chèque froidement. Sans autre forme de procès, je vais vers l'enclos de Phénomène. Celui-ci me paraît fort excité. Bah, wi, il veut se réchauffer, comme tout le monde. Une lueur rebelle dans son regard attire (l'attraction, une sensation universelle, festina) l'attention. Je me glisse dans l'enclos avec le licol qui est désormais celui de Phénomène. L'étalon hennit faiblement. Plusieurs chevaux toussent. Pfff, ce marchand ... Je pose doucement ma main sur l'encolure de Phénomène. Il frémit. Je lui lmets doucement, très doucement, tout doucement le licol en collier. Puis progressivement, je le mets normalement. Le marchand me surveille de loin, avec son air narquois sur le figure.
Je sors de l'enclos, suivie par Phénomène.
"Désormais, tout ça, c'est du passé mon tout beau"
Je l'approche tout doucement du van. L'étalon hennit, puis pointe (et qu'on r'sort le pot de confiotte !). Je lui chuchote quelque chose, mais Phénomène n'en a cure, pour l'instant, il est pas content, et il le fait savoir. Je m'écarte un peu por éviter de me recevoir un coup de sabot. Au bout de quelques minutes, l'étalon s'arrête, sa peau luit de sueur. Il montre le blanc de ses yeux mais s'arrête là, il est trop fatigué pour en faire plus. Finalement, il peut paraître impressionant, il a toujours vécu dans un enclos et de ce fait, il n'est pas très en forme, du coup il faudra que je trvaille la respiration avec lui. Je constate aussi que malgré son apparence très sauvage, il n'a pas beaucoup de muscles.
Je me rapproche de lui. Il hennit. Je l'entraîne doucement vers le van. Il n'a plus la force de lutter. Arrivée à hauteur du vann je l'y attache et lui mets des protections. Ensuite, je le fais doucement rentrer dans le van. Il ne proteste pas. Je referme doucement la porte derrière lui. Se sentant pris au piège, il panique et hennit de toutes ses forces. Il commence à s'agiter. J'essaye de le calmer du mieux que je peux. Cette fois, le marchand est carrément plié en 2 de rire. Comme rien n'y fait. Je prends le volant afin de pouvoir le libérer le plus tôt possible.

les écuries

Je me rends directement à la boutique d'équitation. Le marchand paraît content de me voir :
"- Eh ben ça f'sait un bout d'temps qu'on vous avait aps vu dans les parages !
- Moui, en fait je suis même pas mal en retard, donc ce sera le commande de d'habitude.
- D'accord donc granulés à 5.50 ♣ et foin à 7 ♣ pour 2 chevaux, c'est bien ça ?
- Oui, tout à fait !
- D'ailleurs, comment va votre nouvelle recrue ?
- Phénomène ? Oh ça, va, il s'habitue tout doucement disons.
- D'accord ! Donc ça fera 25 ♣ si je ne m'abuse.
- Oui tout à fait"
Je réglai par chèque puis m'assurais que le service de livraison à domicile était toujours en place et enfin saluai le marchand.

Après, je passai dans une toute nouvelle librairie, regardant tous les livres qui m'interressaient et que je ne pouvais m'offrir, pour finir, je pris les 2 derniers tomes de la série de Jean Failler intitulée "Mary Lester", les 2 tomes étaient en fait la même histoire et ça s'intitulait "Te souviens-tu de Souliko'o ?" [au passage, Jean failler est un auteur breton et ses histoires se passent en Bretagne, la plupart du temps dans des villes réelles alors il va de soit que je vous conseille les 31 tomes déjà sortis !].
Je sortis du magasin avec mon sac puis après avoir un peu flâner, je retournais chez moi.

les maisonettes

Je rentrai dans la boutique d'équitation pour ma commande habituelle :
- Ah, j'me disais bien qu'ça f'sait un bout de temps qu'on s'était pas vu !
- Eh oui ! Donc je viens pour ma commande.
- Alors votre commande ...
- Granulés à 5.50 ♣ et foin à 7 ♣ pour 2 chevaux
- Oui, exact, donc 25♣ s'il vous plaît"
Je lui tendis la somme puis je partis au centre commercial me réapprovisionner en nourriture. Enfin, je repartis vers ma maisonnette avec mes courses.

les maisonnettes

Je déposai mon vélo à l'entrée du centre commercial, mis l'antivol et courus vers me boutique habituelle.
Le marchand m'accueillit avec un grand sourire :
"Pile dans les délais ! C'était moins une hein ?"
Je hochai la tête essoufflée.
"Comme d'hab, je vous livre tout ça demain, aujourd'hui il est trop tard"
Re-hochement de tête.
"Donc granulés à 5.5 et foin à 7 pour vos 2 dadous, 25♣ s'il vous plaît."
Je lui tendis l'argent.
Ayant repris mes esprits, je m'excusai pour mon manque de discussion puis, après m'être excusée une nouvelle fois, je filai au supermarché faire quelques provisions pour moi-même."

La voix de "la dame toute gentille qui parle au micro" annonca la fermeture dans 10 minutes. Je remplis en vitesse mon caddy puis allai à la caisse. L'avantage à cette heure-ci, c'est qu'il n'y avait pas la queue. Je réglai mes achats et pris mes sacs.

Je mis mes sacs sur le porte-bagages de mon vélo puis repartis tranquillement vers le haras.

les maisonnettes

Comme d'habitude, je laissai mon vélo à l'entrée, sans oublier mon antivol. Je me dirigeai vers la crêperie, un peu anxieuse. Elle avait l'air bien pleine et je n'avais pas réservé ma table. Je poussai la porte de l'établissement, un serveuse m'accueillit. Je constatai avec soulagement qu'il restait quelques places vers le fond de la pièce, par forcément celles à côté de la fenêtre mais bon, je venais surtout pour manger ! Je commendai d'abord une bonne complète (oeuf, fromage rapé, jambon). Comme cela n'avait fait qu'ouvrir mon appétit, je passai ensuite au sucré. Après avoir consulté la carte avec bien sur, déjà ma petite idée en tête, je pris un chocolat, que je m'empressai de manger. Après mûre réflexion, je ne me sentis pas encore tout à fait repue, je décidai donc de conclure par une citron, après m'être assurée que je ne connaissais personne dans la salle. (^^) Je réglai la note puis, me sentant tout de suite plus ... "lourde" ? je continuai mon chemin vers le magasin alimentaire.
Je fis le plein pour la semaine de victuailles, passai à la caisse puis rentrai chez moi, en chargeant tout sur mon vélo (une spécialité du haras).

les maisonnettes