le box de Phénomène

J'attachai Phénomène dans son box et lui fis aussi un bon pansage. En effet, le vilain avait dûr faire la nouba pendant mon absence, si ça se rouve, il avait même entraîner Malabar dans sa débauche. Quel cheval, mais quel cheval ! Je lui fis donc un pansage qui le détendis un peu après son rendez-vous de maréchal ferrant, plutôt mouvementé. La matinée était maintenant bien avancée mais je voulais absolument réhabitué l'étalon au rond de longe ce matin pour que je puisse commencer cet entraînement avec la selle dont je aprle depuis si longtemps ! Je détachai donc la longe et menai l'étalon vers le rond de longe.

le rond de longe

Je décide de laisser Phénomène au paddock avec ce beau temps ! Je lui amène sa ration dans un seau. Le bel étalon attend que je sois partie pour s'approcher du seau, comme si c'était interdit de manger ! Quel bêta. J'en étais là dans mes considérations quand je me dis que je n'ai plus le temps de faire travailler Ombre ce matin et que donc je peux aller me reposer un peu chez moi avant d'aller traîner à la salle à manger.

les maisonnettes

En allant vers le paddock, je croise Jump qui me prévient qu'elle a réglé le problème du pré. Au passage, elle m'informe aussi qu'elle ne mettra aucun de ses chevaux au pré ce soir. Je le remercie pour toutes ces infos (faut se tenir au courant !) puis je repars vers le paddock de Phénomène. Le seau est bien entendu vide et l'étalon fait semblant de ne pas me voir.
"Tu sais, j'ai pas l'intention de me battre tous les jours pour t'attraper, alors si tu viens pas, tu finiras tes jours et tes nuits au box ..."
Evidemment, le cheval ne capte pas le sens de mes paroles. Peut-être perçoit-il la menace ...
Néanmoins, son attitude ne change pas alors je vais rendre une petite visite à Bounty dans le paddock voisin. Autant dire que je n'ai pas vraiment beaucoup plus de succès avec lui mais Phénomène ne s'en rend même pas compte et son hennissement retentit dans tout le haras. Glups, pour ceux qui faisaient la sieste, c'est dommage pour eux. J'entre dans le paddok de mon étalon qui me regarde d'un air assassin. Son égo en a pris un sacré coup mais il n'est pas pour autant disposé à me laisser faire. Ca promet ...
Comme je sais que je n'ai aucune chance de l'attraper s'il ne veut pas car il commence à se remuscler sérieusement, je m'assois sur la barrière de l'enclos, un peu désespérée. Loup qui passait par là, amusée par ma situation me demande si tout va bien. Je lui réponds que comme elle eput le voir, tout va pour le mieux.
"Môssieur le velu, je vous donne un quart pour venir me voir, si au bout de ce quart, votre aimable tête ne se trouve pas dans ce licol, je m'en vais, et vous passez la nuit au paddock".
L'étalon ne prête pas le moins du monde attention à la menace. Au bout de 10 minutes, je descends de mon perchoir pour essayer de l'attraper, histoire de ne pas renoncer sans avoir essayé. Evidemment, l'étalon me fait tourner en rond. Comme il commence à se faire tard, je donne à Phénomène sa ration puis je repars poser la selle et voir Ombre. De toute manière, je n'aurais pas été tranquille à mettre mon étalon seul au pré me dis-je un peu pour me consoler de ma défaite.

la sellerie

Je m'approche de mon étalon en essayant de prendre une tête de circonstance c'est à dire, une tête qui montre que je suis toujours fâchée après son numéro d'hier. Je pose le seau contenant sa ration dans le paddock et je m'écarte un peu. Phénomène prend sa tête de cheval tot à fait innocent. Je le laisse manger tranquillement.
Une fois que le seau est vide, décidemment vide et que Phénomène relève la tête, je rentre dans le paddock. L'étalon vient spontanément vers moi. Je lui mets le paddock en essayant de ne pas laisser transparaître la moindre émotion et l'entraîne vers la sortie.
L'étalon, décontenancé me donne un coup de tête dans le dos. Je m'efforce de ne pas le regarder mais je souris.
"Sacré Phénomène hein ? Ton humeur est bien changeante et c'est bien dommage."
L'étalon semble comprendre que je pardonne et redevient tout guilleret. Je prends sa selle qui était posée par terre. L'étalon fait bien attention à ne pas s'en approcher.

le rond de longe

Phénomène semble soulagé de retrouver son paddock. Je pose la selle loin du paddock et attache Phénomène à la barrière. Je vérifie qu'aucun caillou ne s'est logé dans les sabots de Mister Phéno, puis comme pour Ombre, je lui graisse les sabots. Ensuite, je passe l'étrille, puis le bouchon. Quand l'étalon me semble à peu près propre, je le libère pour qu'il puisse un peu décompresser.
L'étalon part au fond du paddock, comme désabusé. Il semble ruminer la séance et un voile de tristesse assombrit ses yeux. Comme il me semble que je ne peux rien y faire, je le laisse pour aller travailler en honnête membre que je suis.

le cabinet du maréchal-ferrant

J'entrai dans le paddock de Phénomène. Je carressai d'abord Malabar qui avait sans doute évité une catastrophe :
"Comment que t'as atterri là toi ? C'est Jump hein ? pas vrai ? Bah tu la remercieras de ma part ! T'oublies pas hein ?"
Je vins ensuite vers Phénomène. Le grand était encore tout énervé. Ses yeux roulaient et la sueur perlait sur son encolure.
"Pas la peine de tenter quoi que ce soit cette aprem', je me trompe ? Enfin, là tu me diras, c'est de ma faute, une bien belle erreur que d'amener Ombre dans le paddock d'à côté ! Bon, je le referrai plus avant un bout de temps, promis. En attendant, ça te dit d'aller au pré ? Ahh, oui, avec Malabar ... Bah voui mais ça, c'est l'affaire de Jump, tu le retrouveras tout à l'heure !"
J'enlicolai mon étalon et parès une dernière caresse à Malabar, je menai Phénomène vers son pré.

le pré breton

Je lâchai Phénomène dans un paddock. L'étalon partit en trombe, en lâchant quelques coups de cul à des monstres imaginaires. Je versai sa ration de granulés dans un seau. L'étalon revint aussi vite qu'il était partit et plongea sa tête dans le seau, en vérifiant à intervalles réguliers que personne de mal-intentionné ne cherchait à lui voler ses granulés. Un réflexe de cheval mis en vente dans un enclos surpeuplé ... Je laissai Phénomène finir de manger au calme et partis vers la sellerie pour prendre les affaires d'Ombre.

la sellerie

Je m'approchai doucement de Phénomène. Le grand semblait toujours aussi en forme !
"Alors mon grand, ça va ? Je suis absolument désolée mais je n'ai vraiment pas la force de travailler avec toi ce matin. Peut-être cet après-midi ! En tout cas, demain tu passes en premier !"
Je fis un léger pansage à mon étalon puis je lui mis sa ration et filai me restaurer à mon tour.

le salle à manger commune

L'étalon trottait nerveusement dans son paddock quand j'arrivai.
"Oh mon grand, j'aurais voulu te faire travailler, enplus tu en as besoin, tu as de l'énergie à dépenser, mais j'ai mes bagages à faire, en plus, je t'avoue que je suis toujours à plat ! A mon retour, t'es le premier qui passe sur le grill, je te le promets."
J'eus le plus grand des mals à attraper mon étalon, je dus user d'une moitié de friandise. Une fois mon étalon enlicolé, je le menai ves son pré.

le pré breton

Je fis entrer Phénomène dans son paddock puis je l'attachai assez long à une barrière. Je sortis mon matériel de pansage et entrepris de dépoussiérer mon étalon. Celui-ci se montra peu coopératif, ne cessant de gigoter dans tous les sens. J'eus le plus grand des mals à lui curer les sabots, déshonneur sur moi, maréchal ! Lorsqu'il me parut présentable, j'étais déjà en sueur. Chouette allure pour aller faire mes rendez-vous. Je me recoiffai en vitesse, détachai Phénomène pour laisser décompresser la cocotte-minute et filai à mon cabinet.

le cabinet du maréchal-ferrant.

Je retrouvai Phénomène, plus serain que tout à l'heure. La raison m'apparut bien vite : Malabar occupait le paddock voisin. Je me glissai dans le paddock de mon étalon, frappée par cette considération : il était quand même haut sur pattes mon sombre velu !
Je m'approchai lentement de ma bête "sauvage". Phénomène trésaillit à mon approche, tourna la tête vers moi, puis finalement, reporta son attention sur son voisin. Je poursuivis ma progression. Arrivée à hauteur de mon dadou, je posai ma main en haut de son encolure, puis la laissai descendre jusqu'à son épaule. L'étalon, un peu intrigué me regardait faire, pas très habitué à ces contacts avec les Hommes. Avec précaution, je mis le licol à Phénomène. Le grand se laissa faire, pour mon plus gran étonnement.

le cabinet du maréchal ferrant

J'entrai dans le paddock, suivie de Phénomène, tout exité à l'idée de retrouver Malabar dans le paddock voisin. Je défis la boucle du licol. L'étalon partit au grand trot vers le paddock de Malabar, lequel attendait patiemment son copain. Un crème ce cheval, pas comme d'autres ...L'étalon fit quelques cabrioles puis revint vers le bel hongre.
Je le laissai narrer ses exploits chez le maréchal-ferrant puis partis chercher Ombre.

le box d'Ombre

Je passai en coup de vent voir le grand Phénomène, toujours pas remis d'être placé à côté de Malabar, ce dont il profitait pleinement. J'espèrais que Jump s'en sortait bien quand elle devait arracher Malabar à Phénomène parce que ça devait pas être une chose facile. Je versai les granulés dans le seau de Phénomène, une des seules choses à pouvoir le décoller de son copain. Le grand s'approcha de son seau au petit trot et plongea goûlument son nez dedans.
Je consultai rapidemment ma montre. Le temps d'aller faire quelques courses avant de manger. Quoique, je pourrais même manger à la crêperie après tout !

le centre comm'

Je m'approchai du paddock de Phnéomène. Je fus soulagée de voir que Malabar n'était plus, peut-être dans son box ou en train de travailler avec Jump. Ainsi, il serait moins dur pour moi de convaincre Phénomène de travailler.
Bon, la dernière séance remontait à loin maintenant. Pour cette première reprise, on allait se contenter de choses basiques pour remettre tout ça en mémoire au grand. Je pris la grande longe de travail. Je m'approchai doucement de mon étalon. Lequel, ne bougea pas d'un pouce, arborrant un air de cheval martyr. Pff, quel comédien.
"Tu le reverras tout à l'heure ton Malabar adoré !"
Je pus l'enlicoler sans trop de difficultés et nous rpîmes le chemin du rond de longe.

le rond de longe

Je lâchai Phénomène dans son paddock. Quand celui-ci s'aperçut que Malabar n'était pas dans le paddock d'à côté, il resta près de moi.
"Alors c'est ça ? Je suis ton bouche-trou ? Ah bah c'est du propre ! En plus moi j'ai un autre cheval qui m'attend !"
Phénomène, surpris par le ton de ma voix redressa la tête, étonné. Je le carressai quelques minutes avant de m'éclipser.

le box d'Ombre

En allant chercher Phénomène dans son paddock, je croisai Lamiss, toute nouvelle au haras qui attendait l'arrivée de son cheval, Storm. Je la saluai et nous discutâmes quelques minutes.
Ensuite, je repartis voir mon étalon. Je lui donnai sa ration du soir dans son seau. Le grand ne se fit pas prier et dévora le tout, jusqu'à la dernière miette. Une fois qu'il eut fini, il leva la tête vers moi, vomme s'il attendait que je remplisse à nouveau son seau.
"Non mon loulou, c'est l'heure de rentrer au pré".
Et sur ces bonnes paroles, je lui mis son licol et nous prîmes le chemin du pré breton.

les prés

J'attachai la longe de Phénomène à la barrière du paddock pour pouvoir attaquer un pansage bien en règle. Je commençai par décoller toute la poussière et la boue séchée avec l'étrille. Je continuai ce travail avec un bouchon qui me permit aussi de faire partir définitivement la poussière, qui pour moitié me retomba dessus. Ensuite, je pris ma brosse douce pour peaufiner le travail. Et pour finir, je curai les sabots de mon étalon avec un cure-pied (bah oui, pas avec mes doigts).
Quand mon étalon fut tout beau tout propre, bref un vrai BG (^^), je détachai sa longe et nous partîmes vers le rond de longe.

le rond de longe

Je lâchai Phénomène dans son paddock, et sa première réaction fut de se rouler par terre. Je fus atterrée de voir mon beau travail de pansage réduit à néant par ce filou. Pas rancunière (enfin à mon goût ^^), je versai la ration de l'étalon dans son seau puis je le lui posai par terre. L'étalon se rua littéralement sur les granulés, manquant de renverser le seau. Je lui fis une petite caresse puis je partis chercher Ombre qui avait eut le droit à une bonne matinée de repos avant la rando.

le coin de paradis

Je rentrai dans le paddock. Phénomène fonca sur moi au galop puis dévia sa trajectoire au denrier moment alors que j'avais déjà entamé un repli stratégique vers l'extérieur du paddock. Je versai les granulés dans le seau de mon étalon qui s'empressa de venir les dévorer. Voir manger mon étalon ainsi me rappela qu'il était grand temps que j'aille faire mes provisions de granulés. Je consultai ma montre : 18h15. Il me smeblai que pendant l'été la boutique fermait à 19h mais je me dépéchai au cas où ce soit 18h30. J'enlicolai Phénomène ue fois sno repas terminé et le menai vers sno pré. L'étalon, comprenant l'urgence de la situation (quand il s'agit de manger ...) se tint à carreau.

le pré breton

En rentrant au haras, suivie de Phénomène, je jetai un cou pd'oeil suspicieux au ciel. Mmmh ... Beaucoup de nuage mais d'après mon immense expérience en météorologie il ne devrait pas pluevoir.
Nous nous dirigeâmes donc vers l'un des paddock. J'y lachai hénomène. ensuite, je lui versai son repas dans un seau et filai à mon tour me restaurer.

la salle à manger commune