Achat d'Equinox

La route avait vraiment était longue, mais là voila enfin arriver, le sourire jusqu'aux oreilles. Après avoir discuter et régler la somme du tragé avec le chauffeur qui l'avait déposé, Cindy se dirigea vers le portail en férail avec seul but, acheter un cheval. La jeune fille entra et vit un vieil homme fumer sa pipe en regardent les collines qui le faisait rêver.

-Bonjour monsieur ! lui dit-elle poliment.

-Bonjour ! Vous voila enfin, quelqu'un vient de m'appeler hier soir, pour me rappeler de votre visite. Sois disant vous devez venir ce matin, non ? lui lança le vieil homme.

-Euh... Oui... J'ai eu un problème mais bref, maintenant je suis là !

-Oui tu as raison. Suis-moi !

L'homme se leva difficilement et s'approcha d'une porte. Il l'ouvrit et avec étonnement, l'adolescente remarqua de grandes silhouettes qui lui paraissaient familière. Des chevaux ! Il était tous plus beau les un que les autres, de différente taille, de différente couleur et aussi avec de différent caractère. Plusieurs chevaux ainsi que des juments s'approchèrent vers elle, mais son attention alla plutôt sur un magnifique cheval gris virant presque au blanc. Cindy s'approcha de lui quand le vieux monsieur la mis en garde.

-Fais attention à celui ci, je ne te le conseil pas, énervé et méfient, voila deux mots pour le décrire. Excuse-moi une minute j'ai entendu sonné, lui dit-il en se précipitant vers le portail de la cours.

La jeune fille regarda de nouveau le magnifique lippizan. Elle avait beau l'appeler, ni sa tête ni ses oreilles bougèrent. Elle fixa alors la petite porte de bois qui fermait son écurie : Equinox, voila le nom de ce magnifique cheval. En passant un doigt sur la petite affichette de fer, une poussière se décolla sur sa main. Cella devait faire depuis une éternité qu'elle n'avait pas du être nettoyé, mais elle repassa son doigt pour ôter cette fois toute la poussière ainsi que la crasse. A ce moment précis, Equinox s'approcha, étendent son chanfrein vers elle, qu'elle caressa doucement. Quand la jeune fille regarda les yeux d'ambre de l'animal, elle sut alors que c'était lui, le cheval qu'elle recherchait.

Quand Pierre revint, car il s'appelait comme ça, il là vit étendue sur le cheval en toute confiance. Un grand "O" se distingua sur ses lèvres quand il aperçut l'adolescente. Cindy détourna le regard pour regarder le vieux bonhomme, qui avait l'air ému.

-Je le prends, dit-elle, très contente.

-Et bien et bien... Je ne sais pas... d'habitude il est si... sauvage ! Mais, au moins je m'en débarrasse, prends le si tu veux, je peux t'en faire un bon prix, dit-il en enlevent son chapeau.

Après avoir laisser le cheval gris, il entrèrent tous deux dans un bureau plus moderne que les autres pièces du centre, et réglèrent le prix. Pierre lui tendit les fiches qu'il avait remplis.

-Bien, je te l'envoie demain vers midi si tu n'y vois pas d'inconvénient, lui annonça-t-il en lui tendent la main, qu'elle lui serra.

-Parfait. Je vous attendrez, au revoir ! lui glissa-t-elle, en courent vers une peugeot noir, qui l'attendait.