=> Le box de Taïga <=

Je suis de retour aux écurie. Taïga sort sa tête du box et hennit doucement. Je pose ma main sur son chanfrein ce qui l'apaise. J'ouvre la porte de son box, lui attache sa longe et la sort tranquillement des écuries pour l'emmener au pré...

J'arrive dans les écuries en courant. Je m'arrête devant le box de Taïga. Vite. Essoufflée, je m'assoit sur le sol frais des écuries et reprend mon souffle. Remettant mes pensées dans l'ordre, je réalise alors que, comme toutes les nuits, j'avais laissé Taïga dans son près. Je me relève et repart au pas de course vers les près pour retrouver Taïga.

De retour avec Taïga, je la remet dans son box. Puis, je ne peux m'empêcher de la contempler durant un bon moment. C'est elle qui vient me tirer de cette rêverie en tapant du pied près de sa mangeoire. Je souris et prend les granulés pour lui mettre sa part matinale. Enfin, je la regarde manger un instant puis je me dis qu'il faudrait que j'achète du nouveau matériel pour elle et moi. Je me glisse alors hors des écuries et regarde si j'ai un peu d'argent au fond de mes poches. J'ai alors 100 ♣. Hmmm, je vais pouvoir lui acheter une grande longe et un nouveau sac de granulés... Je me dirige donc vers le centre commercial en m'activant le plus possible pour éviter de perdre le moins de temps...

De retour aux écuries, je pose tout mes achats devant le box de Taïga et prends la longe. Je l'attache au licol qui est, bien évidement, assorti. Puis, prenant une chambrière, je me dirige vers le rond de longe avec une certaine appréhension. En effet, jamais elle ne s'était rendue dans ce coin du haras...

Je rentre Taïga dans son box après la séance en longe. Elle se précipite sur sa mangeoire ce qui m'indique qu'elle est affamé et que, pour elle, l'heure de manger est arrivée. Je lui met sa ration de granulés. Et sort de l'écurie pour me diriger dans la salle à manger, la faim me tenaillant le ventre...

Je rente dans les écuries et m'approche lentement du box de Taïga. Puis, je siffle comme je le fais d'ordinaire et regarde la jument sortir la tête de son box. Je passe ma main sur son chanfrein.

- Alors, tu veux sortir cette après midi ? Ou bien j'ai le droit d'aller faire des achats ?

La jument me regarde d'un air tristounet. Puis, elle souffle et me donne un petit coup de tête dans le bras.

- Ok j'ai compris. Alors écoute, je vais faire quelques courses et après on fera quelque chose d'amusant d'accord ?

Puis la caressant une dernière fois, je part en direction du centre commercial.

De retour au box de Taïga, je sifflote et Taïga sort la tête. Je lui caresse le chanfrein puis ouvre la porte de son box. Je me glisse à l'intérieur et passe le licl à la jument. Puis, j'accroche la longe à l'anneau adapté et la sort. Je me dirige ensuite vers le manège mixte avec un stick à la main...

De retour aux écurie, je fais entrer Taïga dans son box. Arrivée là, je lui retire son licol et sort. La nuit promettait d'être mouvementée donc je préférais laisser Taïga au box pour cette nuit. Je lui caresse le chanfrein de ma jument, sourit et sort me dirigeant chez moi...

En entrant dans les écuries, je remarque que la plupart des chevaux sont terrifiés. Je me dirige vers le box de Taïga, toujours en courant. La jument tourne en rond dans son box. Je remarque que ses yeux roulent dans leurs orbites. Ce spectacle est encore lus effrayant que l'orange lui même. Je m'approche de la porte et l'ouvre. A ce moment, Taïga se cabre, ses antérieurs me manquant de peu. Je rentre, et tente les paroles appaisantes. Taïge est malheuresement incontrolable. Je m'accroche à sa crinière et la caresse. C'est tout ce que je peux faire.
Puis, peu à peu, l'orage s'éloigne et les chevaux regagne leur quiétude. Tout en continuant de caresser et de murmurer des mots doux à Taïga, je sens la fatigue me submerger. Taïga décide alors de se coucher. Toujours cramponnée à sa crinière, je suit le mouvement et me retrouv allongée contre le flanc de ma monture. Je soupire et me rappelle que ce que je fais est très dangereux...
Mais je suis trop fatiguée et je risquerais de tomber en chemin. Je me glisse jusqu'à la porte du box et la ferme, puis je reprend ma place contre Taïga et m'assoupit...

Je me réveille le lendemain, ne sachant pas trop où je suis. C'est drôle... il est bizarre le lit... je me redresse et un hennissement m'accueille. Surprise, je tourne la tête vers Taïga, toujours couchée qui me regarde l'air de dire "Eh ben, c'est pas trop tôt ! Une vraie marmotte quand tu t'y met toi alors !" Je souris et lui tapote le flanc. Je secoue la tête et me remémore les souvenirs de la veille. L'orage. Les hennissement effrayants. Des yeux exorbités. Je me lève lentement et m'étire. Puis, Taïga en fait de même. Je la caresse encore une fois, sachant que nous avons crée un lien solide depuis nos débuts. Puis, je me rends compte que je suis encore en pyjama et éclate de rire.

- Bon, je vais te sortir encore aujourd'hui ! Mais laisse moi aller me changer avant tout !

Je sors du box et me dirige en courant vers ma maisonnette.

Je reviens au box de Taïga, hors d'haleine. Je reprend mon soufle alors que la demoiselle sort sa tête du box. Je lui caresse le chanfrein. Puis, j'ouvre la porte et me glisse à l'intérieur du box. Puis, je l'embrasse tendrement sur le bout du nez tout en continuant à la caresser.

- Alors ma belle ? Que dirais-tu d'un peu d'obstacle aujourd'hui ? Mais avant tout, je vais te lacher.. Parce qu'avec une nuit pareille tu ne peux qu'être totalement excitée...

Alors, je prends le licol que j'avais accroché au box et le mets à Taïga. Puis, j'ouvre la porte et la fait sortir pour l'emmener au manège...

De retour aux écuries, je ramène Taïga dans son box. Je la laisse faire ce qu'elle souhaite pendant que je m'asseoit sur un ballot de paille qui se trouve là. J'essaie de me mettre en tête un emploi du temps qui tiendrait la route.
Bon... je dois sortir Taïga et pour ça, il faut que je monte les obstacles... Ensuite, je crois qu'il faudrait ranger un peu mon casier dans la sellerie voir même le nettoyer. Et je dois aussi aller acheter de la nourriture pour nourrir la bête...
Bref, j'ai de lourdes et longues taches à accomplir. Je les remets dans l'ordre en choisissant de nettoyer mon casier, d'aller acheter de la nourriture et pour finir, de monter Taïga après avoir créé un parcours sympa. Je descend du ballot de paille, caresse le chanfrein de Taïga et pars vers la sellerie...

Enfin aux écuries, je posa mes affaires à côté du box de ma jument ainsi que les pommes un peu abimées par les chutes qu'elles ont pu sûbir.Je m'approcha de Taïga un peu énervée et je la brossa. Une fois qu'elle était toute propre, j'approcha la selle, mais la sangle m'est tombée dans les jambes. Je perdis l'équilibre, et tomba les quatre fers en l'air !!! Taïga eu très peur, et commença à se cabrer devant moi. Je me relevais en hâte, mais la jument voulut me botter. Je me dépécha de prendre mon licole et de calmer la bête en terreur, malgrès les coups. Je ramassa la selle maintenant un peu sale, et lui mis sur le dos.
Je graisserai ma selle après monter.
Puis je lui passa le filet pour nous diriger ensuite vers la forêt.

Soulagée d'être enfin rentrée aux écuries, je commença à enlever les affaires de Taïga. Je la brossa et pris de ma boîte un tube de crême contre les piqures. Je l'étala sur les énormes boutons, puis je rangea mes affaires et me dirigea vers la sellerie ...

Une fois aux écuries, je repris mon souffle et me dirigea vers le box de Taïga. Je lui pasa le licol, et patis la mettre aux prés.

Je la rentra dans son box, et lui dit :

- Je pense que je vais te faire faire un peu de dressage. Ca ne te fera aucun mal !!!

Puis je partis chercher ses afaires de dressage.

Je rentre dans les écuries, toujours aussi trempée, et enleva toutes les affaires de Taïga. Je me dirige vers la sellerie, mes pieds faisant un bruit comme "flop, flop ...".

En arrivant, au box de Taïga, je me dis que ma vie est vraiment un cauchemar. En effet, ma jument avait du se rouler encore et encore pendant la nuit, se givrant ainsi de poussière, de paille et de crottin. Cela melangé à mon mal de tête, je crus que j'allais rentrer chez moi et me rendormir. Finalement, je pris le licol accroché à côté de la porte, puis sortit Taïga de son box. Je m'empara d'une pelle et d'un seau pour enlever les crottins, puis m'occupa de changer la paille. Quand je finis de nettoyer le box, je m'approche de la TRÈS gentille jument, lui fit les pieds et lui dit :

aujourd'hui on va travailler un peu à pied. Ça ne te fera aucun mal !

Sur ce, je la brossa et je saisis la longe et emmena Taïga au manège pour la lâcher.