Phénomène chez les bretons

Je suis soulagée d'entrer dans le rpé, au moins, s'il m'échappe, ce sera pour aller dans le pré. Je referme soigneusement derrière moi. ¨Phénomène a tous les sens en alerte, il ne connaît rien à la nature. Il pointe ses oreilles vers la mer, étudie attentivement chaque oiseau qui le survole. Je lui parle doucement mais il n'en a que faire, cet environnement est bourré de danger pour lui. Trop attiré par toutes ses choses, il ne remarque pas le cheval paisible qui le surveille au fond du pré. Ce dernier s'approche un peu. Aussitôt, l'étalon, sur le qui-vive tourne la tête vers lui. Il hennit et pointe. Malabar le regarde, presque amusé, il n'en a que faire de toutes ses démonstrations, lui il est pacifique. Phénomène, habitué à avoir du répondant s'étonne du manque de réaction du cheval en face. Je l'amène progressivement vers l'hongre, au pas. Phénomène me suit, intrigué par ce cheval "qui dit rien". Arrivée à la hauteur de Malabar, je m'éloigne un peu de mon étalon puor carresser l'hongre. Malabar tout mimi-mignon ne bronche aps. Les deux chevaux se sentent. Comme l'étalon remarque l'absence de danger, il se reconcentre sur les bruits extérieurs. Je le désenlicole en espérant que la nuit se apssera bien. Quand l'étalon voit que je parsn il hennit, vient vers moi au galop.
"Et ben ça fait plaisir d'être aimée, mais ça va bien se passer, un grand étalon comme toi ça n'a aps peur dans le noir, d'autant plus que tu n'es pas tout seul !"
Je sors du pré sans me retourner pour ne pas être prise de remords et file chez moi.

les maisonnettes

J'arrive au pré de Phénomène, je constate que Jump elle aussi est venue chercher Malabar. D'ailleurs, il semble qu'elle ait quelques problèmes. Oh la la, Phénomène s'est tellement pris d'amitié pour Malabar qu'il ne laisse pas Jump approcher son cheval. Jumpinette parait bien contente de me voir car mon étalon se montre de plus en plus agressif pour protéger Malabar. Je le réprimande vertement. Je m'approche de lui pour l'attraper. Du coup il s'éloigne un peu de Malabar et Jump peut passer le licol à son hongre. Je continue à aller vers mon étalon mais celui-ci ne tient pas à être enlicolé. Néanmoins, quand il voit que Malabar suit docilement Jump, il a très peur pour son copain (bah wi, Jump elle est terrible, elle fiche la frousse !). Du coup, j'arrive à l'enlicolé et Môssieur ne se fait pas prier pour sortir du champ comme ça il garde un oeil sur le cheval de Jump.
"Piuff, finalement, heureusement que t'étais là Jump, sinon, j'y étais encore demain à courir après lui ! J'espère juste qu'il ne continuera plus à t'effrayer. !
- Oui, au pire je viendrai déguisée en buisson comme ça il ne me verra pas !"
Après une petite conversation fort plaisante sur les meilleurs déguisements à prendre dans ces situations-là, je dois bifurquer pour aller aux rendez-vous. Là, ça se complique, Phénomène n'entend pas quitter son copain comme ça. De plus, les bruits extérieurs commencent à le faire paniquer. Il serait vraiment imprudent de le mener en longe jusqu'aus cabinets. Du coup, je le laisse suivre Malabar jusque dans la cour du haras. Arrivée là, je l'arrête, enfin je tente de l'arrêter. Finalement, il s'arrête à proximité d'un carré d'herbe ce qui lui permet de brouter. Un hennissement strident retentit dans la cour.
"Oups, ça c'ets Furia au paddock, ça sent mauvais"
Tentant de garder mes moyens, je tente d'immobiliser Phénomène qui a répondu illico à l'hennissement. Je réussis à traîner mon étalon jusqu'au van avec moult [xD] carottes. J'ouvre la porte du van. Encore une aprtie de plaisir qui va commencer. D'autant plus que Furia renouvelle ses hennissements de défi auquels mon étalon ne manque de répondre. Je prie très fort pour que la porte du paddock soit bien fermée car si les 2 étalon se retrouvent face à face, je ne réponds plus de rien. Déjà exténuée pas ma matinée de rendez-vous, je tente de faire rentrer Phénomène dans le van. L'étalon, planté sur ses 4 pattes s'arc-boute pour me résister0. Je me souviens alors de la technique dont Loup m'avait parlé. Je prends donc une grande longe qui trainait par là [Oh miracle !] et l'accroche à un bord du van. Avec la longe, j'exerce une pression sur l'arrière train de l'étalon. Celui-ci est très surpris et fait un bond en avant pour échapper à la corde. Il se rend compte mais trop tard que le "piège" s'est refermé sur lui. Il tente de reculé mais s'est trop tard, j'ai racourci la longe. Du coup, il refuse de franchir le demi-mètre manquant. Après un bon quart d'heure de souffrance, Acamill qui passe par là vient me porter main forte et à 2 nous réussissons à faire rentrer l'étalon. Je me dépêche d'aller l'attacher quand je me rends compte que j'ai oublié les protections ! quelle cruche, maintenant ça va pas être facile de les mettre dans le van. Mais pas question de ressortir l'étalon ! Je demande à Acamill de surveiller Phénomène et sans attendre sa réponse, je cours à la sellerie prendre les protec's. Une fois revenue, je me fais encore aidée d'Acamill pour tout mettre en place. Je le remercie chaleureusement ma cow-dirlow et en route mauvaise troupe !

la cabinet du véto

Phénomène se met à trottiner en apercevant au loin Malabar dans le pré. Je m'efforce de le repasser au pas car s'il doit me traîner jusqu'au pré tous les soirs, ça ne va pas le faire. A une dizaine de mettre de la clôture, je l'arrête pour vérifier que j'en ai bien le contrôle. Phénomène semble très impatient, je le lâche donc finalement dans le pré. l'étalon part au galop retrouver son copain sans le moindre regard pour moi. Dépitée, je repars retrouver Ombre.

les écuries

J'entrai dans le pré. Au loin Phénomène semblait bouder. Bah oui, Malabar était parti depuis bien longtemps et il se sentait seul. Je l'appelai. Rien. Je recommencai. Toujours rien. A contre-coeur je m'approchai donc de l'étalon. A mon approche, il commenca à trotter nerveusement. La faim me tiraillant, je m'assis au milieu du pré en attendant que Môssieur daigne venir voir ce qu'il en est de ma petite personne. Au bout de 2 minutes, l'étalon qui souffre de la solitude vient me voir. Je lui mets doucement son licol et en route.

les écuries

Tout le long du trajet, l'étalon cherche soit à me devancer, soit à aller brouter, je me dépêche donc encore une fois pour le lâcher au pré. Une fois libre, la furie part au galop manquant de foncer dans un arbre, puis suite à cet incident ralentit un peu et finalement repart de plus belle constatant l'absence de Malabar. Je repars vers chez moi pour me consoler de ce manque de tendresse et de reconnaissance.

les maisonettes

J'arrive ne même temps que Jump ce matin, ce qui nous arrange toutes les 2 : Jump parce qu'elle ne sera pas menacer par Phénomène et moi parce que Phénomène ne rechignera pas à venir. Je laisse donc Jump enlicoler Malabar, ce qui n'est pas une difficulté vu que l'hongre est tout mimi-mignon, pendant que moi j'éloigne Phénomène de Jump pour sa sécurité. Puis j'enlicole à mon tour mon cheval qui est venu se poster devant l'entrée du pré pour empêcher Jump de sortir. Je me replace derrière Malabar et en route pour les box.

les écuries

Je donne la pomme à phénomène avant de le désenlicoler. Après quelques carresses, je le laisse aprtir, et comme pour mon autre étalon, je reste le regarder queqlues minutes gambader joyeusement avant de retourner chez moi pour finir mes bagages.

les maisonnettes

J'appelle Phénomène. Celui-ci arrive au grand galop, suivit, un peu plus loin par Malabar qui semble en pleine forme. L'étalon, malgré sa sauvagerie semble plutôt content de me voir. Je l'enlicole sans trop de difficultés. Je lui fais quelques carresses puis nous partons. Tout de suite, je redescends dans l'estime de l'étalon, très triste de quitter Malabar.

le box de Phénomène

Je lâche mon étalon. Les 2 prochains jours il pourra se la couler douce avec le concours qui approche ! Il est tout pimpant à l'idée de retrouver son hongre préféré. Je le regarde pendant quelques minutes se dépenser en galopant, suivi de malabar. Il forment un beau couple ! Je reprends mon licol et repars vers chez moi pour une bonne nuit de sommeil répératrice !

les maisonnettes

J'arrive dans le pré breton, enchantée de revoir mon étalon velu. Quand j'entre dans le pré, c'est Malabar qui vient vers moi au galop. Il semble déçu de voir que ce n'est que moi. Je lui fais un petit calin pour le consoler en lui chuchotant que sa Jump préférée allait sans doute revenir demain. Phénomène arrive au petit trot, intrigué par ce conciliabule. Il doit remarquer que je n'ai pas de licol car il me laisse m'approcher de lui. Je lui fait plein de calinous pour qu'il ne soit pas vexé d'être resté tout seul pendant quelque temps. Il semble apprécier. Comme je dois aller acheter de la nourriture pour ces messieurs, je ne aps non plus m'éterniser. Je donne alors une carotte à Phénomène puis je repars vers le centre commercial. L'étalon repart vers Malabar.

le centre comm.

Ce matin, quand j'entre dans le pré, Malabar n'est pas là, il doit être en train de se faire chouchouter par Jump ! Du coup, Phénomène ne se montre pas trop réticent pour venir me voir, même après avoir remarqué que j'étais munie du terrible licol ! Je l'enlicole donc et nous partons pour mon cabinet pour une petite visite chez le maréchal (chez moi quoi).

le cabinet du maréchal ferrant

Je lâcha bien vite Phénomène car il me semblait toujours énervé comme une puce. L'étalon, privé de son canalisateur Babar (^^), bondit dès qu'il se sentit libre de ses mouvements. Il partit en trombe à l'autre bout du pré puis en fit 2 fois le tour et s'arrêta à quelques mètres de moi. Il me regarda quelques secondes puis repartit comme un fou.
"Bon, pas a peine d'attendre le moindre câlin de sa part à ce sauvage, reste Ombre à mettre au pré."

les écuries

J'entrai dans le pré. Un coup d'oeil au ciel me ravit, voilà une journée qui s'annoncait fort bien ! Je regrdai autour de moi. Malabar et Phénomène étaient au fond du pré, à se gratouiller gentillement.
Je m'en voulais de devoir interrompre ce moment si mignon, mais je n'avais pas vraiment le choix ! Enfin, c'est ce que je me disais pour apaiser ma conscience. Je sifflai Phénomène. Les 2 chevaux levèrent simultanément la tête. J'appellai mon étalon. Comme il ne réagissait pas, je m'approchai. Phéno partit au trot à l'autre bout du pré. Malabar resta là où il était. Je caressai quelques minutes Malabar puis je rappellai Phénomène. Celui-ci vint prudemment, au pas. Arrivé à quelques mètres, il s'arrêta, sur ses gardes. Je lui tendis une friandise, non sans en avoir donné une à Babar. L'étalon s'approcha à petits pas puis allongea son encolure au maximum pour saisir la friandise. Pendant qu'il mangeait, je m'approchai de quelques pas. Une fois à sa hauteur, je mis ma main sur son encolure. Phénomène frémit, ses muscles se tendirent mais il resta en place. Je le caressai longuement avant de lui passer le licol.

les écuries

Je lâchai Phénomène dans son pré. Il partit au grand galop vers Malabar. Je le rappelai. Il s'arrêta et tourna la tête vers moi. Je mis en évidence le reste de la friandise. Il revint au petit trot, suivi de Malabar. Je cassai la moitié de friandise en 2. J'en donnai un bout, même petit, à chacun. L'hongre repartit tranquillement. J'eus le temps de faire une petite caresse à Phénomène avant que celui-ci parte rejoindre Babar. Je restai quelques instants les regarder, puis je repartis vers ma maisonnette.

les maisonnettes

J'arrive avec une portion de moulé au pré de Phénomène. Je n'avais jamais vraiment eu la chance de rencontrer ce magnifique cheval donc je n'avais aucune idée de son caractère et comment m'en approcher.

Donc, j'entre dans le pré, je pose le sceau à mes pieds, j'accroche le licol sur la clôture et je l'appelle. Du coup, je vois deux frimousse arriver, ha la galère ! Mais c'est lequel phénomène ?

Les deux chevaux, surpris, s'arrête tout droit devant moi et ils repartent. Je rappelle Phénomène en lui tendant deux gâteries (Je ne sais toujours pas c'est lequel). Un des chevaux arrive à moi et prend la gâterie sans hésiter. L'autre, tout noir, est un peu réticent.

Ce fût que quelques minutes plus tard qu'il ne pu résister à cette terrible tentation et qu'il vint prendre le bonbon !

Un peu plus loin, je vois Jump arrivé vers moi et je compris vite ! Un des chevaux est Malabar ! Bien sûr ! Alors, je vais la laisser le prendre et là je vais voir lequel est Phéno, voilà !

Je parlais quelques minutes avec elle, comptant ma petite aventure du qui est qui, puis je servis la portion de granulé à Phénomène, le noir !

Puis, je vais chercher la licol, retourne vers Phéno qui est déjà partie à la vu du licol.

Je regarde dans le sceau, il a déjà fini sa ration !

Bon, je ne me battrais pas avec lui, je vais aller voir Ombre.

J'entrai doucement dans le pré. Mon étalon velu, et, pour le coup, boueux, redressa fièrement la tête. Babar leva également sa tête. J'appelai Phénomène. L'interéssé ne bougea pas d'un yota. Je réitérai mon appel. Malabar, peiné de mes difficultés à me faire obéir vint vers moi au petit trot. Je lui fis un gros câlin pour me consoler. Mon étalon, désorienté par ce changement d'attitude, arriva au galop et se planta à quelques centimètres de moi. Après une dernière carresse à Babar, j'enlacai l'encolure de mon étalon puis l'enlicolai. Je ne manquai pas de lever mon pouce en signe de victoire en direction de Malabar.

le box de Phénomène

Arrivé au pré, Phénomène redevint tout fringuant à la vue de son grand copain Malabar. Il se mit à tirer sur la longe avec une force inouïe. J'attendis qu'il se calme un peu pour ouvrir la porte du pré. Quand l'étalon fut à l'intérieur du pré il reprit son manège de plus belle. Me sentant impuissante, je défis la boucle du licol avant qu'il ne m'ait arraché la longe des mains. L'étalon partit au grand galop faire la fête à Malabar. Pour ma part, je pris le chemin de ma maisonnette.

les maisonnettes

J'entrai dans le pré des deux terribles compères. Enfin, un terrible surtout, l'autre était plutôt en mode "adorable". Justement, Phénomène ne semblait pas disposé à aller fourrer sa tête dans le licol de son propre chef. Je soupirai. Je m'approchai, et, évidemment l'étalon détala à l'autre bout du pré. Je continuai ce petit jeux pendant une dizaiende minutes puis, lassée, je m'assis au milieu du pré.
Je regrettai de n'avoir pas un bon livre à lire, là, maintenant. En contrepartie, je regardai la mer. Des fois, j'en oubliais sa présence, j'avais tellement l'habitude, oui, la mer était puor moi quelque chose de banal. Pas sans intérêt, sans beauté, néanmoins. Je regardai les vagues qui revenaient continuellement s'écraser sur le sable avec l'espoir fou d'engloutir cette plage corriace. Perdue dans des pensées poétiques, je n'en remarquai pas la présence des 2 chevaux, dans mon dos. Ce ne fut que quand je perçus un fort souffle chaud dans mon dos que je me retournai, lentement. Vu d'en-bas, les chevaux avaient vraiment une tête comique. Doucement, tout doucement, je me relevai. Et encore une fois avec précaution, je m'approchai et lui mis enfin le licol. Au retour, je croisai Jump, qui parut soulagée de voir qu'elle pourrait attraper Malabar sans Phéno.

le box de Phénomène

Je rentrai dans le pré, suivie de près par Phénomène, ayant aperçu Malabar. Je défis la boucle du licol. L'étalon partit au galop rejoindre son compère qui lui avait sans doute promis de lui raconter la randonnnée dans tous les détails.

le centre commercial.

Après Ombre, Phénomène. Mais celuici ne l'entendait pas de cette oreille. Je passai un quart d'heure à tenter de l'attraper sans succès avant de me résoudre à m'asseoir en attendant qu'il daigne venir.
Je consultai ma montre, aujourd'hui je ne mangerai pas avant 14h. Mon ventre émit un grognement désapprobateur. Phéno finit par venir. Je l'enlicolai et nous partîmes en vitesse pour les rendez-vous.

tous les cabinets