Bouleau de Palefrenière

Après avoir bien dormit il faut travailler ! Chausser ses bottes, mettre ses gants, prendre le matériel nécessaires et là voila paré pour cette journée. Direction les boxs ! Cindy ouvrit la porte des écuries, et commença à faire son travail. Pour commencer, elle s'occupe du box de Corail, un beau welsh.
Même si le bouleau de palefrenière ne consiste pas à nettoyer les boxs, la jeune fille les fit quand même, elle pensait surement que cela ferait plaisir au propriétaire. Cindy commence à prendre une brouette, puis la pose, prend la fourche attrape le fumier et la paille sales et les mets dans la brouette, puis commence à tapisser le box de paille fraiche. Puis, elle fait le même processus pour chaque boxe : celui de Paolo, celui de Citronnelle, celui d'Heaven, celui d'Isadora ainsi que celui de Zingall. Cindy lui fit un long pansage car il était vraiment sale, elle prit une étrille et décolla la crasse avec, le bouchon, puis la brosse douce qu'elle passa délicatement sur son poil et sur son encolure. Puis posa la brouette vers le tas de fumier, pour prendre cette fois ci, une brouette de granulé. Chaque cheval avait une ration spécifique, il ne fallait pas se tromper, surtout pas ! Après avoir fini de donné le grain, elle saisit le tuileaux d'arrosage et donna de l'eau à chacun.

Chaque tache était terminé, il fallait juste rentrer les chevaux qui était au pré, ce que les autres avaient laissés ou oubliés de rentrer. L'adolescente consulta sa liste : Golden, Nutella, Melvin, Furia.
Et là voila déjà reparti ! La jeune palefrenière prit les licols correspondent et alla chercher pour commencer, Golden. Direction le pré !


Quelques minutes plus tard là voila avec le magnifique cheval qui suivait à l'autre bout de la longe. Elle le rentra dans son box, lui mit du foin dans son râtelier et parti chercher les autres.

Cindy avait pris deux chevaux pour gagner du temps, Melvin et Furia. Furia lui sembla alors très nerveuse. Elle lui donna alors un coup de sabot dans les jambes. La jeune fille fit un petit gémissement de douleur et s'empressa de la mettre dans son box, ainsi que le cheval moucheté.

Après avoir mis Nutella dans son box, elle enleva ses gants et souffla un peu, son cheval arrivera normalement dans une demi-heure, c'est d'ailleurs à cette heure si qu'elle finirait son service, d'après la lettre.
Elle prépara pour l'arrivée de son cheval un boxe qui se situé au milieu, lui mit du foin, de la paille fraiche, des granulés et de l'eau. On lui avait d'ailleurs préparé une plaque spécialement pour lui avec écrit son nom, Equinox. Voila son box fin prêt, il ne manquait plus que lui.

Voila, me voila enfin. On m'avait confié un nouveau cheval : Lueur d'espoir. Surement un magnifique cheval, comme tous les autres. J'installa avant son arrivée, de la paille fraiche dans son box ainsi que de l'eau fraiche. C'était vraiment fou, même si ce n'était pas mon cheval, cela me faisait la même sensation que j'avais eu avec Equinox, lorsque je l'avais vu pour la première fois. Un bruit de moteur me fit sortir de mes pensées, le voila ! La voiture se gara, suivit de près par le van. Une jeune femme habillé comme si elle était en vacances me fit signer une sorte de décharge. Elle me montra aussi les papiers de Lueur. Tout était ok. Lorsque la porte du van s'ouvrit, je pris le licol le plus proche de moi et m'avança vers lui. Je lui caressa l'encolure et, tout en tenant ses papiers, je lui enfila le licol en prenant soin de ne pas faire de mouvement brusque. Je pris un des montants du licol et l'emmena dans le box que je lui avait préparé. Ce cheval avait l'air d'avoir du sang, ainsi qu'un bon caractère, jusqu'au moment où il m'arracha ses propres papiers des mains. Je lui donna une tapette sur le museau en lui disant bien distinctement "non", et posa les feuilles toutes froissées sur une tablette non loin de là. Décidément, j'espèrerais que ce cheval ne me joue pas des tours. Je me munis d'une brosse et décolla la paille collé à ses crins, puis commença à lui brosser tout le corps ainsi que les membres, le voila parfait. Je partis alors, je voulais qu'il s'habitue aux écuries.